Manuscrit
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Publication d'une préoriginale
Dans l'hebdomadaire « Police-Roman », [deuxième série] n° 125 du 25 avril 1941 ; sous le titre La jeune fille de La Rochelle.
Paris, Société parisienne d'édition ; 26,5 x 17,5 cm, 13 pages ; illustrations de René Péron, couverture illustrée (R. Péron).
Série « Les dossiers de l'Agence O. ».



La jeune fille de la Rochelle, 1941.
Publication en préoriginale.

Edition originale
In Les dossiers de l'Agence « O » (Paris, Gallimard, N.R.F., 1943).

Réédition(s) en français
Liste non exhaustive

En revue :
Nouvelle rééditée dans la collection « Le Jury », n° 22 (avec L'arrestation du musicien), sous le titre Les dossiers de l'Agence « O. » (Bruxelles, A. Beirnaerdt, s.d. [1941]).

La jeune fille de la Rochelle, 1941. Réédition.

Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive

In Œuvres complètes (Lausanne, Editions Rencontre, 1967-1973) - tome VIII.
In Tout Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993) - tome 24.
In Tout Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome 24.

Traduction(s)
Liste non exhaustive

En allemand :
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En anglais :
[ ? ] : [ ? ] (première édition américaine).
[ ? ] : [ ? ] (première édition anglaise).

En italien :
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Adaptation(s) pour la télévision
Liste non exhaustive

La cage d'Emile, téléfilm franco-belge de Marc Simenon.
Adaptation : Maurice Aubergé.
Avec : Jean-Pierre Moulin, Pierre Tornade, Michel Robin, Marlène Jobert, Louis Arbessier, Noël Roquevert, Mylène Demongeot…
Première diffusion : RTB (Belgique), le 9 octobre 1967 ; Les dossiers de l'agence O [01].

Remarque(s)
Treize des quatorze enquêtes menées par l'Agence O. ont été adaptées en 1976-1968 pour la télévision par Marc Simenon, Jean Salvy, Jacques Lanzman et Maurice Auberge, avec la bénédiction de l'auteur qui accepta des fins différentes à certaines histoires. La série a été diffusée d'abord par la télévision belge puis, avec quelques mois d'écart, par la télévision française.

Treize épisodes d'une d'heure pour faire le récit des enquêtes menées par cette agence de détective pas comme les autres. En effet le directeur, l'ex-inspecteur Torrence (Pierre Tornade), n'est qu'un homme de paille : le véritable patron, Emile, est un jeune homme timide (Jean-Pierre Moulin) qui assiste aux entretiens dissimulé derrière une glace sans tain du bureau directorial.

Le jeu de Jean-Pierre Moulin fut considéré un peu mou par une majorité de téléspectateurs qui en plus, à l'époque, s'intéressaient beaucoup plus aux mouvements contestataires des étudiants et des ouvriers. Cette série malgré ses qualités et le satisfecit de Georges Simenon n'eut qu'un succès d'estime.

Intrigue
Texte en cours de rédaction.
Merci de votre compréhension.