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Rédaction
Château de Terre-Neuve, Fontenay-le-Comte (Vendée, France),
le roman est achevé le 22 juillet 1941 (date relevée
dans l'édition originale).
Selon la liste secrétariale de
Simenon : en octobre 1941.
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Manuscrit
[ ? ].
Le manuscrit a été vendu aux enchères au profit
des prisonniers de guerre, à l'initiative de l'auteur en 1943.
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Le
fils Cardinaud, 1941.
Tapuscrit original. |
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Publication d'une préoriginale
Aucune [ ? ].
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Edition originale
Achevé d'imprimer : 30 novembre 1942.
Paris, Gallimard, N.R.F. ; 19 x 12 cm, 189 pages ; couverture blanche.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Le fils Cardinaud,
1942.
Edition originale. |
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Réédition(s)
en français
[En préparation].
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Edition(s) collective(s)
en français
Liste non exhaustive
In uvres
complètes (Lausanne, Editions Rencontre,
1967-1973) - tome 16.
In Tout
Simenon (Paris, Presses de la Cité,
1988-1993) - tome 23.
In Tout
Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome
23.
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Traduction(s)
Liste non exhaustive
En allemand :
[ ? ] : Der Sohn Cardinaud.
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Le fils Cardinaud,
[ ? ].
Edition allemande (Diogenes) |
En anglais :
[ ? ] : [ ? ] (première édition américaine).
[ ? ] : [ ? ] (première édition anglaise).
En italien :
[ ? ] : [ ? ].
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Adaptation(s) cinématographique(s)
Liste non exhaustive
Sous le titre Le sang à la tête, film français
de Gilles Grangier.
Adaptation : Gilles Grangier et Michel Audiard.
Dialogues : Michel Audiard.
Avec : Jean Gabin, Paul Frankeur, Renée Faure, Monique Mélinand,
José Quaglio, Claude Sylvain, Georgette Anys, R. Palmer, Jean-Louis
Bra, Henri Cremieux
Sortie le 10 août 1956.
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Le sang à
la tête, 1956.
Affiche française (Marquet) ;
117 x 158 cm. |
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Le sang à
la tête, 1956.
Affiche française (Belinsky) ;
120 x 160 cm. |
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Le sang à
la tête, 1956.
Affiche française (Marquet) ;
120 x 160 cm. |
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Le sang à
la tête, 1956.
Affiche française ; 120 x 160 cm. |
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Le sang à
la tête, 1956.
Affiche belge ; 35,5 x 54,5 cm. |
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Le sang à la tête,
1956.
Film raconté en images.
In « Mon Film », n° 541 du 2 janvier 1957.
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Adaptation(s) pour la télévision
Liste non exhaustive
Le fils Cardinaud, téléfilm français
de Gérard Mordillat.
Adaptation et dialogues : Gérard Mordillat.
Avec : Jean-Pierre Bisson, Caroline Sihol, Camille Clavel, Claude
Evrard, Janine Souchon, Christian Barbier, Yann Epstein
Première diffusion : ORTF (TF1, France), le 18 mars 1987 ;
L'heure Simenon [05].
En projet, annoncé en été 2002 :
Cardinaud, téléfilm français de
Gérard Jourd'hui.
Adaptation et dialogues : Gérard Jourd'hui.
Avec : Eddy Mitchell
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Intrigue
Les Sables-d'Olonne (Vendée, France). Comme chaque dimanche,
Hubert Cardinaud (trente-deux ans) se rend à la messe avec
son fils aîné. Après l'office, il s'arrête
dans une boulangerie et achète un gâteau pour le dessert.
De retour à la maison, à son grand étonnement,
le rôti n'est pas en train et sa femme, Marthe, n'est pas là.
Hubert alerte son entourage et constate rapidement que son épouse
s'est enfuie avec les économies du ménage, après
avoir confié leur bébé à une voisine.
Face à cette situation inconcevable, Hubert fait preuve d'un
héroïsme candide et se met en tête de retrouver
sa femme afin de la ramener coûte que coûte au domicile
familial.
Modeste employé d'assurances, Hubert obtient de la part de
son patron un congé spécial et, face à l'incompréhension
des uns et à la commisération des autres, fait ce
qu'il doit faire, tout seul, ainsi que le veut son éducation
religieuse plutôt stricte et son sens moral profond. Hubert
entreprend des recherches méthodiques qui lui font découvrir
un monde jusque-là totalement étranger : celui du mal,
de la vulgarité et de l'égoïsme.
Au cours de ce calvaire, Hubert apprend que Marthe est partie avec
une canaille de la région, Emile Chitard, dit Mimile, du Petit
Bar Vert. Il découvre aussi que cette gouape de Mimile
a eu de nombreux démêlés avec un truand nommé
Dédé, qui est aussi à sa recherche pour le supprimer.
C'est lui qui fournit une piste sérieuse à Hubert.
Grâce à Dédé, Hubert est le premier à
mettre la main sur Mimile. Il n'hésite pas à l'informer
du danger qu'il court et Mimile prend la fuite, abandonnant Marthe
à son mari, qui n'a jamais cessé de l'aimer.
Délaissée par son séducteur et indifférente
aux sentiments que lui porte Hubert, Marthe retrouve la maison des
Sables-d'Olonne une semaine jour pour jour après
l'avoir quittée. La vie conjugale reprend son cours, entre
deux êtres incapables de communiquer et fondamentalement différents
l'un de l'autre.
Quant à Mimile, il n'échappe pas à Dédé
et se fait poignarder par lui.
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