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Pseudonyme
Georges Martin-Georges.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 4 février 1929 (le dernier plat
de la couverture porte : 1928).
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 55.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Aimer,
mourir, 1929.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Remarque(s)
Une partie de chasse au cours de laquelle un mari tente d'abattre
son rival est un argument qui forme l'intrigue d'un conte et de
deux romans qui ont précédé Aimer, mourir.
Il s'agit du Coup
de feu (publié sous la signature de Georges
Sim ; « Le Matin », du 23 octobre 1923), de
L'heureuse
fin fin (publié sous le pseudonyme de Jean
du Perry ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1925), et L'étreinte
tragique (publié sous le pseudonyme de G.
Vialio ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1928).
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Intrigue
Henry d'Estaces - bien qu'âgé seulement de vingt-cinq
ans - est déjà las de la vie qu'il mène à
Paris (France). Aussi décide-t-il de s'installer dans son
château du Cher. Cela lui permet de quitter la monotonie de
la capitale, mais aussi de se rapprocher de Blanche Oudard, la jeune
épouse d'un riche homme d'affaires qui habite un domaine
non loin de son castel.
Tandis que Georges Oudard participe à une partie de chasse,
Henry donne rendez-vous à Blanche sur les rives du Cher.
Il lui déclare son amour, mais ne veut pas devenir son amant.
Car ce qu'il désire, c'est l'épouser. Il ne voudrait
donc pas que la jeune femme se donne à lui dans le cas où
elle éprouverait encore des sentiments envers son mari. Henry
propose donc à Blanche de l'emmener sur-le-champ ou d'attendre
le divorce. Elle lui donne son consentement en tombant dans ses
bras.
Au château d'Henry, on ramène le cadavre d'Oudard.
Accident de chasse ou assassinat ? Pour le gendarme qui conduit
l'enquête, la réponse ne fait aucun doute. C'est Henry
d'Estaces le coupable ; et cela même si Blanche Oudard s'accuse
du meurtre de son mari pour sauvegarder la liberté de celui
qu'elle aime.
Un inspecteur de police - qui servait de rabatteur durant la partie
de chasse - dévoile la vérité. Depuis des mois,
il traque sans relâche Georges Oudard, escroc international
de haut vol, qui n'a pas hésité lui-même à
tuer pour asseoir sa fortune et qui est connu sous de multiples
identités. Le policier a abattu Oudard au moment où
celui-ci s'apprêtait à faire feu sur Henry, qu'il avait
surpris en compagnie de sa femme.
La mort d'Oudard permet à Henry d'épouser librement
Blanche.
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