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Œuvre de Georges Simenon publiée sous des pseudonymes

Commentaires relatifs à la bibliographie de l'œuvre publiée sous des pseudonymes

SIMENON AVANT SIMENON


A propos des recherches bibliographiques
En cliquant sur l'icône foncée, vous obtenez des détails sur un ouvrage auquel il est largement fait référence :

Jean-Christophe Camus (in Simenon avant Simenon : les années parisiennes, 1923-1931 - Paris, Hatier, 1990.
.Jean-Christophe Camus (in Simenon avant Simenon : les années du journalisme, 1919-1922 - Paris, Hatier, 1989.
 
Pierre Deligny (in « Jalons chronobiographiques » - Paris, Presses de la Cité, 1993 ; Tout Simenon, tome 27)
 
Robert Demeyer (in Simenon en volumes - [ ? ], Robert Demeyer Editions, 2003 ; « Biblio-argus »).
 
Freddy Derwahl (in Le petit Sim : les années liégeoises de Georges Simenon - Eupen, GEV, 1993).
 
« Dossier Simenon » (in « Magazine littéraire », n° 107 de décembre 1975).
 
Bernard de Fallois (in Simenon - Lausanne, Editions Rencontre, 1971).
Bernard de Fallois (in Simenon - Paris, Gallimard, 1961- Collection « La bibliothèque idéale »).
 
« Hommage à Georges Simenon » (in « Catalogue de la Librairie Version Originale », n° 9 hors série - Liège, janvier 1990).
 
Francis Lacassin (in Simenon et la vraie naissance de Maigret - [ ? ], Dragoon, 2003).
Francis Lacassin (in La vraie naissance de Maigret - Monaco, Editions du Rocher, 1992).
 
Michel Lemoine (in L'autre univers de Simenon - Liège, Editions du C.L.P.C.F., 1991).
 
Claude Menguy (in De Georges Sim à Simenon : bibliographie - Parism Omnibus, 2004).
laude Menguy (in Bibliographie des éditions originales de Georges Simenon y compris les œuvres publiées sous des pseudonymes - Bruxelles, Société royale des bibliophiles et iconophiles de Belgique, 1967 - Extrait de la revue « Le livre et l'estampe », n° 49-50 de la même année).
Claude Menguy (in Additions et corrections à la Bibliographie des éditions originales de Georges Simenon - Société royale des bibliophiles et iconophiles de Belgique, 1971 - Extrait de la revue « Le livre et l'estampe », n° 67-68 de la même année).
 
Lily Portugaels et Frédéric Van Vlodorp (in Les scoops de Simenon : Georges Sim, journaliste - Grolley, Editions de l'Hèbe, 2003).
 
Mathieu Rutten (in Simenon : ses origines, sa vie, son œuvre - Mandrin, E. Wahle, 1986).
 
« Simenon » (in « Catalogue de la Librairie Oh 7ème ciel », n° hors série - Yverdon-les-Bains, 1992).
 
Henri Thyssens (in Tout Simenon - Liège, La Sirène, 2003).
Henri Thyssens (in Bibliothèque Simenon - Liège, La Sirène, 1999).



Simenon avant Simenon  

Le nombre de textes publiés par Simenon sous des pseudonymes s'élève à plus de 4'000 titres :
La littérature industrielle  


  Simenon en 1925 et en 1929.
In « Magazine littéraire », n° 417 de février 2003.


A considérer la masse d'écrits qui séparent Au pont des Arches (1921), signé Georges Sim, de L'évasion, signé Christian Brulls (paru en 1934, mais écrit en 1930) ; à considérer le nombre de titres et de personnages, la diversité d'inspiration, on pourrait croire que leur auteur n'est pas Simenon, mais un autre, ou un groupe d'autres.

Tel est d'ailleurs — notamment en 1975, à une époque où il occultait farouchement toute œuvre antérieure à 1931 — le point de vue adopté par Simenon lui-même. Il avait l'art de se rendre étranger à cette production et de s'en libérer par une expression laconique : « Ça n'est pas de moi », comme s'il voulait dire : cherchez le coupable ailleurs, je n'y suis pour rien…

Prié de motiver ce refus de paternité, il invoque les règles imposées qui bridaient son inspiration, l'obligation de respecter les conventions de la littérature populaire, lui qui, par tempérament, était hostile à toutes les règles. Si la conversation se prolonge assez pour le mettre en confiance, il finit par reconnaître que certains de ses derniers romans populaires auraient pu être signés Simenon, à condition d'oublier quelques phrases ou situations sacrifiées à la sacro-sainte convention : L'œil de l'Utah, L'homme à la cigarette, et surtout Le château des Sables Rouges.

On ne s'étonnera donc pas d'entendre Simenon déclarer, lors d'un entretien télévisé avec Roger Stéphane : « Quelqu'un qui a écrit des romans populaires […] pour gagner sa vie est sûr de ne jamais mettre de convention dans ce qu'il écrit ensuite, parce qu'on acquiert une telle haine […] du personnage conventionnel, du dialogue conventionnel […] qu'automatiquement on ne risque plus d'y toucher. »

Dans la carrière littéraire de Simenon, le roman populaire — qui répond à des règles strictes et contraignantes — est une première étape. La deuxième — marquée par les enquêtes du commissaire Maigret — appartient au roman policier (que l'auteur qualifie de roman semi-littéraire), un genre dans lequel les contraintes existent aussi, mais de manière moins prononcée que dans le roman populaire. Il s'agit d'une étape de transition, qui doit permettre à Simenon de faire ses armes avant de passer au roman littéraire, son objectif final. Lorsqu'un éditeur lui offrira une entière liberté d'inspiration et d'écriture…

Mais auparavant, Simenon a appliqué très loyalement les règles de la littérature industrielle. Quelques exemples :

  • La division binaire entre le bien et le mal. Dans les romans d'aventures, elle se colore de nationalisme. Aussi, le héros est-il toujours un Français (même pas un francophone) et le traître, un étranger : en général un Allemand (Le monstre blanc de la Terre de Feu), plus rarement un Espagnol (Les nains des cataractes).

  • Les romans d'aventures sont entièrement voués à l'exotisme, du cœur de l'Afrique à la Terre de Feu, en passant par le Tibet. L'auteur emprunte largement ses décors au Larousse illustré ; en les visitant des années plus tard, il les trouve moins intéressants (Tahiti en particulier) que dans ses propres livres !

  • Les romans d'aventures se caractérisent par la présence d'un élément dynamique exprimé par la recherche. Recherche d'un trésor : L'île des maudits, Les maudits du Pacifique, Le secret des lamas, Jacques d'Antifer roi des îles du vent. Recherche de diamants : Les nains des cataractes, ou de bouées phosphorescentes : Les pêcheurs de bouées. Recherche d'une cité perdue plus ou moins mythique : Le secret des lamas ; d'une ville en or massif : Le roi des glaces. Recherche d'un explorateur disparu : Le Gorille-Roi. L'élément dynamique se complique parfois d'un mystère ; apparition meurtrière d'un bateau doré : Le roi du Pacifique ; naufrages successifs dans les mêmes eaux : Les voleurs de navires. En se nuançant d'angoisse, la recherche devient poursuite, course folle après des bandits ayant enlevé une jeune fille : Le sous-marin dans la forêt.

  • Plus remarquable encore, est l'usage fréquent du fabuleux, de l'insolite, de l'horreur, du sadisme (un fou joue du violon dans un décor d'icebergs et de neige, d'innocentes victimes sont livrées à une panthère borgne, un cadavre de cheval est dévoré par des vautours, le héros mène un combat désespéré contre des autruches décidées à lui crever les yeux).

  • Les horizons décrits de 1923 à 1930 ne dépassent guère, dans les romans d'amour et les drames d'amour, les limites de la banlieue parisienne. Lorsqu'une ville de province apparaît, elle est vue comme par la fenêtre d'un train qui la traverse.

  • Les personnages sont la proie de conflits cornéliens… et mélodramatiques. Celui qui poursuit un assassin découvre qu'il en est le fils. Le héros de L'île des maudits tombe amoureux de la fille de son enemi.

  • Dans les romans d'amour, les personnages moulés sur des types rigides arrivent à Paris en provenance d'un milieu provincial ou petit-bourgeois ; chair fraîche jetée en pâture aux enjôleurs. Autres spécimens : le gandin qui plaît aux femmes, la jeune fille innocente délaissée par son fiancé, le jeune homme timide.

  • Les héroïnes opposées aux femmes perverses se reconnaissent à une fragile blondeur, soulignée d'un regard pur comme l'azur, et la digne résignation des victimes.

  • Les héros se caractérisent par un mélange d'obstination et d'optimisme candide qui leur permet d'affronter le destin le plus pesant. Le poids du passé agit comme un péché originel. Les personnages sont poursuivis par une fatalité qui trouve sa source dans un secret inavouable : filiation illégitime, souillure criminelle affectant un proche parent ou dans des préjugés qu'aggravent malentendus et tentatives de chantage, tel l'adultère suggéré par toutes les apparences et pourtant non consommé.

Avant de se lancer dans le roman populaire, Simenon se livre à une véritable étude de marché. Il achète des échantillons du genre dans les kiosques et les bureaux de tabac. Il les parcourt, et remarque que certaines situations, l'usage de certains mots sont permis chez certains éditeurs et proscrits chez d'autres. Il ne tarde pas à distinguer une hiérarchie entre les diverses maisons parisiennes d'édition. Il en existe quatre, vraiment spécialisées dans la littérature populaire, qui, par la variété et l'abondance de leurs productions, offrent à un écrivain débutant le maximum de chances de s'imposer.

Au bas de l'échelle, il y a Rouff (14, boulevard de Vaugirard, dans le 15e arrondissement), qui — bien qu'ayant connu la gloire de publier La porteuse de pain de Xavier de Montepin — n'est plus qu'une vieille maison assoupie. Simenon ne lui donnera que deux titres, signés Georges d'Isly.

Un peu au-dessus se situe J. Ferenczi et Fils (9, rue Anatole-Chantin, dans le 16e arrondissement), qui s'adresse à la couche la plus modeste du grand public : les gens les moins fortunés ou qui sont rebutés par les textes trop longs. Ferenczi publie surtout des collections de fascicules de petit format (deux fois inférieur au format de poche actuel) et comportant de 32 à 96 pages. L'amour malheureux ou trahi domine dans des collections intitulées « Le livre épatant », « Le petit roman », « Le petit livre », etc. C'est dans cette collection, sous le numéro 623, que paraît en août 1924 le premier roman populaire de Simenon, Le roman d'une dactylo, signé Jean du Perry. Simenon contribuera aux diverses collections de Ferenczi par plus de 80 titres, tirés chacun à 80'000 exemplaires.

Simenon préfère néanmoins travailler pour Jules Tallandier (75, rue Dareau, dans le 16e arrondissement) qui fait une place plus large que Ferenczi au roman d'aventures. L'un des fleurons de la maison est la « Bibliothèque des grandes aventures », surnommée par les amateurs la « collection bleue », par opposition à la « collection rouge » vouée aux romans sentimentaux. Les ouvrages de la « collection bleue », en dépit d'une couverture à l'illustration naïve, ressemblent, par leur format et leur épaisseur, à de vrais livres. Vendus plus cher que les fascicules, ils sont d'un meilleur rendement pour l'auteur. Leur longueur — environ 10'000 lignes — permet à un écrivain consciencieux de tenter des descriptions, d'esquisser des atmosphères et de construire une véritable intrigue. Simenon prend pied dans la « collection bleue » en septembre 1925 grâce à La prêtresse des vaudoux, suivie un an plus tard de Se Ma Tsien, le sacrificateur. Ces deux titres sont signés d'un nouveau pseudonyme, Christian Brulls. Pour Simenon, la « collection bleue » marque une étape importante dans sa carrière de tâcheron des lettres.

Simenon connaît une véritable ascension lorsque, trois ans après son entrée dans les usines de la littérature populaire, il accède enfin aux célèbres collections « Le livre populaire » et « Les maîtres du roman populaire » de la Librairie Arthème-Fayard (18-20, rue du Saint-Gothard, dans le 16e arrondissement). Il n'est pas question de fascicules dans ces deux collections. La première offre des volumes d'un format semblable à ceux d'une honnête bibliothèque bourgeoise. Sauf que l'or et le sang s'étalent sur la couverture illustrée en quatre couleurs par Gino Starace, rendu célèbre par ses illustrations de Fantômas… avant que les couvertures photographiques ne fassent leur apparition dès 1931. La deuxième accueille surtout les nouveaux auteurs et les jeunes espoirs, sous une couverture illustrée en noir sur fond jaune (format in-8°). Ces deux collections s'accompagnent de plusieurs périodiques : « Touche-à-Tout », « La Jeunesse illustrée » et « L'Aventure » (qui deviendra « Ric et Rac » en élargissant sa formule éditoriale). Simenon rejoint Fayard avec Le feu s'éteint, paru en février 1927 dans « Les maîtres du roman populaire » sous le pseudonyme de Georges Sim. En entrant chez Fayard, Simenon caresse l'espoir de passer du versant populaire au versant littéraire de la maison, dans lequel on trouve des romans tout court, comme chez les vrais éditeurs. Aussi, une fois admis rue du Saint-Gothard, Simenon se fixe pour règle d'offrir en priorité ses productions à Fayard, puis en cas de rejet à Tallandier et, en dernier ressort, à Ferenczi. Il lui arrivera de la sorte, en changeant de titre et de pseudonyme, de noms de lieux et de personnages, de vendre à Ferenczi un roman déjà paru chez Fayard ou vice versa…

Au sommet de la pyramide, on trouve Albin-Michel (qui continue de publier les œuvres de Paul Féval et Georges Ohnet), Gallimard (qui publie les « Chefs-d'œuvre du roman d'aventure », un lointain ancêtre de la « Série noire ») et Hachette (qui exploite les succès de Maurice Leblanc et Gaston Leroux).

En 1927, s'est produit un événement d'apparence anodin. Il annonce pourtant la lente agonie de la littérature populaire et la fermeture inéluctable des vieilles usines qui la produise. Le détonateur du séisme souterrain qui va transformer le marché de la littérature de masse — de l'inspiration des auteurs aux désirs du public en passant par les structures d'édition et de diffusion (adieu les fascicules et les mini-livres) — est représenté par une nouvelle collection de livres : « Le Masque ». Fondée par un inconnu, Albert Pigasse. La particularité de cette collection — qui va d'ailleurs déterminer son succès — est qu'elle ne va proposer, jusqu'en 1930, que des auteurs anglo-saxons.

Suprême outrage envers la tradition, « Le Masque » se présente sous couverture non plus en papier mais cartonnée, comme un livre de prix. Sur du meilleur papier, rogné, la collection offre des romans beaucoup plus courts que les romans populaires français. L'atmosphère et les personnages sont plus réalistes, tout en conservant un parfum d'exotisme en raison de l'environnement anglais. L'intrigue — débarrassée des digressions, rebondissements et quiproquos du roman populaire — est conduite de façon rigoureuse autour d'une énigme (qui a tué ?) brillamment résolue par le détective.

Seule concession à la tradition, la respectable couverture jaune est revêtue d'une jaquette illustrée selon les canons en vigueur dans les maisons d'édition concurrentes. Mais les puristes peuvent la jeter avant de mettre le livre dans leur bibliothèque. Ils ne s'en priveront pas : il est difficile aujourd'hui de retrouver un « Masque » avec sa jaquette d'origine.

La littérature populaire sera toutefois pour Simenon un intéressant « laboratoire » : il se testera, essayera des personnages et des atmosphères qui — au final — feront de lui ce romancier du monde réel préférant la grisaille, le quotidien, l'angoisse, l'apaisement sexuel. Elle sera également pour lui un très bon moyen de gagner sa vie : car - en général - le romancier populaire est payé au forfait. Celui-ci est calculé selon le prix de vente unitaire qui dépend de la longueur du texte (2'500 lignes, 5'000, 10'000, 15'000 ou 20'000) et du tirage fixé à l'avance. Une fois épuisé, l'ouvrage n'est jamais réimprimé, sauf rarissimes exceptions. Avec son formidable rythme de production, Simenon s'est rapidement fait sa place et assuré un train de vie décent.

Il s'était donné dix ans pour réussir. C'est le temps qu'il a fallu à Sim (Au pont des Arches, paru en 1921) pour devenir Simenon (Monsieur Gallet, décédé et Le pendu de Saint-Pholien, les deux premiers « Maigret » publiés à l'occasion du « Bal anthropométrique » de 1931).


Les pseudonymes


  Georges Simenon par Raymond Moretti.
In « Magazine littéraire », n° 417 de février 2003.


Durant sa carrière, Simenon a usé des 27 pseudonymes suivants (en cliquant sur un pseudonyme, on obtient la liste des titres qui ont été publiés sous celui-ci) :

  • [01] Germain d'ANTIBES
    Pseudonyme ayant servi pour un seul roman, Hélas ! Je t'aime.

  • [02] ARAMIS
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [03] BOBETTE
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [04] Christian BRULLS
    On a aussi trouvé C. BRULLS, Christian BULL'S et Christian BRULL'S.
    Pseudonyme réservé aux productions haut de gamme.

  • [05] Georges CARAMAN
    Pseudonyme ayant servi exclusivement pour des reportages.

  • [06] J.-K. CHARLES
    Pseudonyme ayant servi exclusivement pour une chronique policière.

  • [07] Jacques DERSONNE
    Pseudonyme réservé aux productions bas de gamme : on le trouve exclusivement sur les couvertures des fascicules Ferenczi.

  • [08] La Déshabilleuse
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [09] Jean DORSAGE
    On a aussi trouvé Jean DOSSAGE.
    Pseudonyme réservé aux productions bas de gamme : on le trouve exclusivement sur les couvertures des fascicules Ferenczi.

  • [10] Luc DORSAN
    On a aussi trouvé DORSAN, Luc DONAN et DONAN.
    Pseudonyme réservé à la production galante ou polissonne, ainsi qu'aux aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [11] GEMIS
    On a aussi trouvé Gémis.
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [12] GEORGES-MARTIN GEORGES
    On a aussi trouvé Georges MARTIN-GEORGES ou GEORGES-MARTIN-GEORGES et Georges MARTIN-GEORGE.
    Pseudonyme réservé aux productions bas de gamme : on le trouve exclusivement sur les couvertures des fascicules Ferenczi.

  • [13] Gom GUT
    On a aussi trouvé Gom-Gut et, isolément, Gom et Gut.
    Pseudonyme réservé à la production galante ou polissonne, ainsi qu'aux aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [14] Georges d'ISLY
    Pseudonyme ayant servi pour un seul roman, Etoile de cinéma.

  • [15] JEAN
    Pseudonyme réservé aux contes publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [16] KIM
    Pseudonyme réservé à la production galante ou polissonne, ainsi qu'aux aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [17] MIQUETTE
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [18] MITSI
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [19] Monsieur le Coq
    Pseudonyme ayant servi à signer les 784 articles de la chronique Hors du poulailler, publiés dans la « Gazette de Liège ».

  • [20] PAN
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [21] Jean du PERRY
    Pseudonyme réservé aux productions bas de gamme : on le trouve exclusivement — plus de quarante fois — sur les couvertures des fascicules Ferenczi (à une exception près : Marie-Mystère, un roman publié par Fayard).

  • [22] PLICK ET PLOCK
    On a aussi trouvé, isolément, Plick et Plock.
    Pseudonyme réservé à la production galante ou polissonne, ainsi qu'aux aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [23] POUM ET ZETTE
    Pseudonyme réservé à la production galante ou polissonne, ainsi qu'aux aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [24] Jean SANDOR
    On a aussi trouvé SANDOR.
    Pseudonyme réservé à la production galante ou polissonne, ainsi qu'aux aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [25] Georges SIM
    On a aussi trouvé Georges SIMM, G. SIM, Geo SIM et SIM.
    Pseudonyme réservé aux productions haut de gamme… et apparu quelques fois pour signer des contes publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.

  • [26] Gaston VIALIS
    On a aussi trouvé Gaston VIALLIS, G. VIOLIS et G. VIALIO.
    Pseudonyme réservé aux productions bas de gamme : on le trouve exclusivement sur les couvertures des fascicules Ferenczi.

  • [27] Le Vieux Suiveur
    Pseudonyme réservé aux contes et nouvelles publiés dans les journaux humoristiques et les revues légères.
  Remarques :  
  • Le pseudonyme TROTT est mentionné sur un document d'archives, mais ne semble pas avoir été employé.

  • Certaines bibliographies ont faussement attribué à Simenon les pseudonymes suivants : Max-André DAZERGUES, M. LECOQ et Maurice PERTUIS.