Rédaction
Paris (France), [date non connue].

Manuscrit
[ ? ].

Publication d'une préoriginale
Aucune.

Edition originale
Achevé d'imprimer : janvier 1928.
Paris, Edition illustrée [Maxime Ferenczi] ; 17,5 x 11 cm, 48 pages ; illustrations de Ludo Chauviac ; couverture illustrée en couleurs (L. Chauviac) ; 75 centimes.
Collection « Les Romans folâtres », n° 2.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.

L'amour à Montparnasse, 1928. Edition originale.

Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français

[En préparation].

Intrigue
Oscar Béniquet, pharmacien à Saint-Servin (ville française, dont le nom a été imaginé par l'auteur), été invité à un congrès à Paris. C'est pour lui l'occasion de découvrir la capitale et il entend bien profiter de ses huit jours de liberté pour profiter des nombreux plaisirs que la ville offre à ses visiteurs à la recherche de sensations inédites.

A Paris, Béniquet est accueilli par son vieil ami Lhoiseau, qui l'entraîne dans un milieu d'artistes aux mœurs fort légères. Un peu pataud et intimidé par ce libertinage sans frein, Béniquet ne sait pas très bien comment répondre à l'invite de Mme Stulini qui lui propose de se mettre à l'aise.

Doit-il simplement se débarrasser de son chapeau, comme cela se pratique dans les salons de Saint-Servin, ou suivre l'exemple de Mme Stulini. Car elle est nue, cette dame, intégralement nue. C'est une mince personne, jolie de ligne, avec deux petits seins placés très haut, et des cheveux d'un noir intense.

Impressionné, Béniquet souhaiterait tout de même un peu plus d'intimité pour oser se lancer. Finalement, il assiste — plus qu'il ne participe — à une soirée orgiaque qui ne fait qu'exacerber ses désirs. Aussi, de retour à son hôtel, tente-t-il de violer une femme de chambre... et passe la nuit au commissariat.

Au petit matin, Béniquet est libéré et quitte Paris sans demande son reste. Il en a assez vu !