L'amour à tous les étages
[Une petite femme sincère]
Roman léger

  • Pseudonyme
    Gom Gut.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.



  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].
    Un exemplaire de L'amour à tous les étages est conservé à la Bibliothèque Nationale (Paris, France). Le Fonds Simenon (Liège Belgique) en possède une photocopie.

    Le Fonds Simenon possède également — sous forme de photocopie — la dactylographie faite par Simenon. Elle est intitulée Une petite femme sincère et signée Sandor. La dactylographie originale — dont est issue la copie qui se trouve au Fonds Simenon — doit vraisemblablement se trouver à l'Administration de l'oeuvre de Georges Simenon, SA (Lausanne, Suisse).
    On ignore cependant si cette dactylographie originale a été précédée par un manuscrit.

    Sous-titré petit roman drôle, Une petite femme sincère était certainement destiné à l'une des deux collections hebdomadaires (« Les romans folâtres », paraissant le jeudi ou « Les romans drôles », paraissant le samedi) de l'éditeur Maxime Ferenczi. Ces deux collections devaient concurrencer la « Collection gauloise » des éditions Prima, mais elles ont rapidement été abandonnées, faute de succès.

    La publication de l'ouvrage par Ferenczi n'est pas établie [1928 ?]. Il est pratiquement certain que l'auteur a réussi à placer son texte chez Prima, sous le titre L'amour à tous les étages et le pseudonyme de Gom Gut.


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 1929.
    Paris, Prima ; 18,5 x 11,5 cm, 48 pages ; illustrations de Jack Abeillé, couverture illustrée en couleurs (J. Abeillé) ; 1 Fr.
    « Collection gauloise », n° 124.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      L'amour à tous les étages, 1929.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français

    [En préparation].



  • Intrigue
    Alfred, un homme d'âge mûr, est resté célibataire, faute d'avoir trouvé une femme sincère à épouser. Alors que sa quête semble perdue, il fait la connaissance de Lulu. Elle lui plaît et le trouble. Il en tombe amoureux et est attiré par tous les mystères dont elle sait s'entourer.

    Mais Lulu semble aussi aimer Alfred et elle se donne à lui, avec l'intention de devenir sa femme.

    Bien vite, cependant, Alfred s'aperçoit que Lulu lui ment effrontément, de sorte qu'il ne sait jamais quand elle dit la vérité. Elle prétend avoir été enlevée par un maharadjah et sauvée par un prince… Cette fable, vraisemblablement inspirée par un film qu'elle aurait vu au cinéma, ne cache-t-elle pas plutôt un mariage raté ?

    Si mari il y a, alors il y a aussi un homme de trop ! Mais il faut croire que l'époux est un gentleman qui sait ne pas se montrer trop possessif… puisque Alfred et Lulu se marient. Il l'épouse malgré sa mythomanie, mais n'est pas tout à fait heureux de cette union.




• Apporter une information complémentaire
ou une correction : cliquer ici