Bobette, mannequin
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Georges-Martin-Georges.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 29 juillet 1930.
    Paris J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 133.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      Bobette, mannequin, 1930.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Réédition :
    Achevé d'imprimer : 6 novembre 1938.
    Paris J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (C. Sogny) ; 45 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 701.


      Bobette, mannequin, 1938.
    Réédition (coll. E. De Pasquale).


  • Intrigue
    Paris (France). Le nouveau mannequin en vue de la maison de couture Wellis et Sœur, Bobette, fait preuve d'un tel esprit d'initiative qu'elle est rapidement nommée sous directrice. Le personnel n'attribue pas cette promotion à son seul mérite et croit Bobette devenue la maîtresse du directeur, Gaston Wellis. Une situation qui ne serait pas pour déplaire à Gaston, bien au contraire ! Celui-ci est, en effet, subjugué par les qualités professionnelles et la beauté de sa collaboratrice qui, malheureusement, lui a interdit de formuler la moindre des avances. C'est donc bien à regret qu'il lui obéit.

    Pour calmer ses ardeurs, Bobette propose à Marise — un autre mannequin de la maison — de se donner à Gaston. Comme Marise n'apprécie guère Bobette, elle est tout heureuse à l'idée de devancer de se jeter dans les bras du riche et séduisant Gaston. Toutefois, celui-ci freine immédiatement Marise, devinant que Bobette cherche à le mettre à l'épreuve. Dès lors, il s'entend avec Marise et feint d'être amoureux d'elle.

    Un jour qu'ils déjeunent tous les trois au restaurant, Gaston voit une larme couler sur la joue de Bobette au moment où il montre quelque empressement envers Marise. Aussitôt, il rompt le jeu et explique à Bobette qu'il a deviné ses intentions... et découvert sa véritable identité.

    Bobette s'appelle en réalité Anne-Marie, une cousine de province qui, une fois son doctorat en droit passé, avait sollicité un emploi dans l'entreprise de Gaston. Il l'avait poliment éconduite ; elle s'était promise de lui prouver qu'il avait eu tort.

    Tout malentendu étant désormais dissipé, Gaston et Anne-Marie peuvent donc vivre leur amour.


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