Les chercheurs de bonheur
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Jean Dorsage.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 21 janvier 1931 (le dernier plat de la couverture porte : 1930).
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 158.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      Les chercheurs de bonheur, 1931.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Réédition :
    Achevé d'imprimer : 19 juin 1939.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (non signée [ Sogny ? ]) ; 45 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 764.


      Les chercheurs de bonheur, 1939.
    Réédition.


  • Intrigue
    Paris (France). Un riche industriel est assassiné dans son hôtel particulier. Bien que Gérard Meursan n'ait pas que des amis, les soupçons se portent immédiatement sur Raymonde, son épouse. Lors de l'enquête, elle ne rejette pas les accusations de la police car elle est certaine que son mari s'est suicidé en raison de son inconduite. En effet, Raymonde a un autre homme dans sa vie, non pas un amant, mais un amoureux, en la personne du timide Jean Verne. Il ne s'est jamais rien passé entre eux, mais Raymonde culpabilise et, prise de remords, tente de s'empoisonner.

    Tandis que les médecins espèrent la sauver, Jean s'accuse du meurtre. Il est arrêté et mis en prison. Là, il avoue à son avocat qu'il n'est pas coupable, mais qu'il a volontairement agit de la sorte pour éviter à Raymonde — qu'il aime éperdument, mais qu'il n'a jamais touchée — une incarcération douloureuse.

    Emu par l'abnégation de Jean et par la pureté de son amour, l'avocat le fait évader. Cela se révèle toutefois inutile car la police découvre le véritable meurtrier en la personne d'Albert Frésil, le valet de chambre de Meursan. Il a tué son maître alors que celui-ci l'avait surpris en train de voler.

    La vie de Raymonde n'étant plus en danger, Jean l'emmène en convalescence en montagne. C'est dans l'air pur des cimes helvétiques qu'ils échangeront leur premier baiser.


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