Cœur de jeune fille
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Jean Dorsage.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 22 mars 1930.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 115.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      Cœur de jeune fille, 1930.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Réédition :
    Achevé d'imprimer : 12 août 1933.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Sogny) ; 40 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 676.


      Cœur de jeune fille, 1933.
    Réédition.


  • Intrigue
    Mme Saint-Bonnet aimerait que son fils Georges épouse une vraie jeune fille. Elle a d'ailleurs déjà jeté son dévolu sur Alberte Dubas, la fille d'un couple d'amis. Ce qui est loin de plaire à Georges. Il déclare d'ailleurs solennellement à son ami Maurice d'Extens que, s'il doit se marier, il choisira une vraie femme, contrairement au vœu de sa mère !

    Mais Alberte n'était-elle pas une jeune fille moderne dans le meilleur sens du mot ? Ses parents lui laissent une liberté presque entière, mais elle n'en profite pas pour mener une existence dissipée. Cela ne l'empêche cependant pas d'être pleinement avertie des choses de la vie, notamment parce qu'elle a beaucoup lu.

    Pour avoir raison de l'obstination de Georges, Alberte gagne la complicité de Maurice et, avec son aide, met au point le stratagème suivant : elle invite les deux jeunes hommes à passer la soirée avec elle et les entraîne d'un cabaret à l'autre. Au Chien Vert, à Montmartre (Paris), sur le coup d'une heure du matin, l'atmosphère est endiablée. Des serpentins pendent entre les lustres, le jazz joue sans répit et les bouteilles de champagne jonchent les tables.

    Le reste de la nuit, Alberte le passe chez Maurice, en tout bien tout honneur. Georges les croit donc amants et cela le rend fou de jalousie. Un sentiment affreux qu'Alberte ne dissipera que le lendemain en lui avouant sa machination et son amour. Séduit par le culot d'Alberte, Georges lui tombe dans les bras... et les fiançailles se déroulent un peu plus tard.


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