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Pseudonyme
Jean du Perry.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 4 avril 1928.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 15,5 x 10,5 cm, 63 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Armengol) ; 50 centimes.
Collection « Mon livre favori », n° 364.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Intrigue
Paris (France). Georges Arfeuille est directeur d'un laboratoire
pharmaceutique. L'une de ses manutentionnaires, Yvette, est amoureuse
de lui. De son côté, il n'est pas insensible aux sentiments
de la jeune femme, mais il est marié et a un fils.
Il décide néanmoins d'installer Yvette dans un appartement
de Montparnasse et de devenir son amant. Lorsque François
Godin beau-père de Georges et codirecteur de l'affaire
découvre le pot aux roses, il rend visite à
Yvette et lui demande de devenir sa maîtresse contre le prix
de son silence. La manutentionnaire refuse et s'enfuit.
Georges cherche désespérément Yvette et finit
par avoir la certitude que celle-ci a reçu son beau-père
dans l'appartement de Montparnasse. Il demande des explications
à Godin, qui lui ment et affirme qu'Yvette est depuis longtemps
sa maîtresse.
Refusant de croire une telle fourberie, Georges fouille l'appartement
de son beau-père. Il trouve des documents qui lui donnent
la preuve qu'il n'a pas été épousé par
amour, mais seulement pour sauver les Godin de la faillite. De plus,
son fils n'est pas de lui. Il a donc été trompé
pendant des années et tout, autour de lui, est faux.
Désespéré, il s'apprête à se jeter
dans la Seine au moment où des sauveteurs retirent une jeune
femme du fleuve. C'est Yvette qui, dans le même trouble que
Georges, est déjà passée à l'acte. Heureusement,
elle est encore vivante...
Aux émotions succèdent les explications, qui lèvent
tous les malentendus. Georges divorce et épouse Yvette qui
lui donne un fils, dont il est, cette fois, bien le père.
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