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Pseudonyme
Georges-Martin-Georges.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 12 janvier 1931 (le dernier plat de la
couverture porte : 1930).
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 157.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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La
double vie, 1931.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Achevé d'imprimer : 11 janvier 1939.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture
illustrée (Georges Vallée) ; 45 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 719.
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La
double vie, 1939.
Réédition. |
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Intrigue
Jacques Destenier, âgé de vingt-cinq ans, vit dans
une famille que dominent le père un diplomate célèbre
et un grand nombre de préjugés liés
aux convenances et à la classe sociale. Bien qu'étant
un être plutôt faible, Jacques réussit à
mener une double vie. Non seulement il a épousé Yvonne,
que lui a choisi et imposé sa famille, et qui vient de lui
donner un fils ; mais depuis cinq ans au moins, il a pour maîtresse
une ouvrière parisienne prénommée Lucienne,
qui l'aime sincèrement et qui lui a aussi donné un
fils.
Le récent accouchement d'Yvonne conduit Lucienne à
se considérer de trop. Sous prétexte de voir la Méditerranée,
elle se rend à Cassis avec son fils. En réalité,
elle projette de se suicider en se jetant dans la mer, tout en faisant
croire qu'il s'agit d'un accident.
Dans le même temps, Yvonne apprend la liaison de son mari
avec Lucienne et se rend-elle aussi à Cassis. Lorsque Jacques
l'y rejoint, il est trop tard. Lucienne est morte. Non par noyade
comme elle l'avait prévu, mais à la suite d'un accident.
Une voiture l'a renversée.
La fatalité, qui a refusé le suicide de Lucienne,
a accepté sa mort par accident. Aussi Jacques et Yvonne recueillent-ils
le petit orphelin et se promettent-ils de faire de leurs deux fils
des hommes affranchis de tout préjugé de classe.
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