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Pseudonyme
Jean du Perry.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 30 août 1930.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 16,5 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 75 centimes.
Collection « Le Livre épatant », n° 415.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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La
femme ardente, 1930.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Remarque(s)
L'intrigue de La femme ardente reprend celle de La
femme 47 (publié sous le pseudonyme de Georges
Sim ; Paris, A. Fayard, 1930), ne retenant toutefois de
ce roman que son aspect sentimental et en éliminant ce qu'il
concédait à l'espionnage.
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Intrigue
Jeanne Aubry est une demi-mondaine entretenue par le riche industriel
Groslier. Lors d'une soirée aux Champs-Elysées (Paris,
France), son amant la présente à des amis : le romancier
Bertin, l'avocat Davricourt et son fils Albert. Envers les Davricourt,
Jeanne use de son charme et de sa sensualité, à tel
point que tous deux la désire ardemment. Dans un premier
temps, elle se donne au père ; et lorsqu'elle est sur le
point de tomber dans les bras d'Albert, l'avocat survient et interdit
à son fils de fréquenter la jeune femme. Cet incident
provoque une curieuse lueur de triomphe dans les yeux de Jeanne,
tandis qu'Albert tente de se suicider.
Une fois guérit physiquement, le jeune Davricourt est envoyé
à la campagne pour soigner son moral. Pendant ce temps, Jeanne
se lie d'amitié avec Bertin, qui devient son confident. A
Tancrou, où il est convalescence, Albert fait la connaissance
de Geneviève, une jeune fille qui vit dans une famille de
fermiers, les Tatin. Les jeunes gens se plaisent et tombent amoureux
l'un de l'autre.
Heureuse de cette relation, Geneviève projette d'en parler
à sa mère lors de sa prochaine visite. Lorsque celle-ci
se produit, Albert reconnaît tout de suite Jeanne Aubry en
la mère de sa bien-aimée. Aussi annonce-t-il à
Geneviève que leur amour est désormais impossible
et qu'il leur faut rompre.
Lors de sa visite suivante, Jeanne trouve sa fille malade de chagrin.
Elle décide alors de convoquer à Tancrou les Davricourt
père et fils, qu'elle accueille en compagnie de Bertin, et
leur raconte le drame qu'elle a vécu à l'âge
de dix-huit ans. Un dimanche, dans la forêt de Saint-Germain,
près de Poissy, d'où elle est originaire, trois Parisiens
ont abusé d'elle après l'avoir enivrée. De
ce viol est née Geneviève ; de ce funeste dimanche,
elle garde le souvenir précis d'un visage. Celui de Davricourt,
l'avocat, dont elle s'est vengée en se prenant à Albert.
Bertin avoue alors à Jeanne qu'il faisait partie du groupe
des trois Parisiens et qu'il est le père de Geneviève.
Le roman n'étant pas avare en coups de théâtre
et autres coïncidences, on ne saura toutefois pas sur la base
de quoi se fonde la paternité de Bertin. Il n'empêche
! Celui-ci a toujours cherché à réparer sa
faute et en permanence tenté de retrouver Jeanne. Sans toutefois
y parvenir.
A la suite de leurs confessions, Jeanne et Bertin décident
d'unir leurs destins, tandis qu'Albert épouse Geneviève.
Quant à Davricourt, il cherchera dans la politique l'oubli
de sa passion trop violente pour cette femme trop ardente
qu'est Jeanne.
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