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Pseudonyme
Jean du Perry.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 30 janvier 1929.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture illustrée
en couleurs (Georges Vallée) ; 60 centimes.
Collection « Le Petit Livre », n° 847.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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La
fille de l'autre, 1929.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Achevé d'imprimer : 1er juillet 1939.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 96 pages ; couverture illustrée
en couleurs (Georges Vallée) ; 95 centimes.
Collection « Le Petit Livre », n° 1'391.
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La
fille de l'autre, 1939.
Réédition. |
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Intrigue
Henry Sorge et Jane Darimer s'aiment et concevraient volontiers le
projet de se marier, si la mère et le beau-père de Jane,
Madeleine et François Ortis, ne rejetaient pas Henry. Car non
seulement ils sont opposés à cette union, mais ils exigent
de Jane qu'elle épouse le riche Leperreux, ce qui permettrait
à Ortis, financier doublé et spéculateur imprudent,
d'éviter la ruine.
Résolu à ne pas laisser ainsi bafouer son amour pour
Jane, Henry projette de l'enlever. Toutefois, le chauffeur d'Ortis,
Jean, l'en dissuade. Il lui suggère d'aller fouiller le bureau
du financier - dans lequel il trouvera des documents très compromettants
- et de profiter de son statut de journaliste pour faire pression
sur Ortis en le menaçant de révéler publiquement
ses escroqueries.
Peu après qu'Henry ait visité le bureau d'Ortis,
celui-ci y est retrouvé mort. Les soupçons se portent
sur le journaliste qui avoue avoir été surpris par Ortis
alors qu'il fouillait dans ses affaires. Mais il jure l'avoir quitté
en vie. Evidemment, on ne le croit pas et il est arrêté
malgré ses protestations d'innocence. Survient alors Jean,
qui déclare être l'auteur de l'assassinat d'Ortis. Il
fournit les preuves de son crime, mais refuse d'en dévoiler
le motif avant d'être face à ses juges.
Aux Assises, Jean fait des révélations qui donnent un
nouvel éclairage sur la personnalité de François
Ortis. Il y a vingt ans, les deux hommes étaient tous deux
mariés mais, à l'inverse d'aujourd'hui, c'est lui, Jean,
qui était uni à Madeleine. Puis, Ortis est allé
s'installer en Afrique, où Jean l'a rejoint dans l'espoir de
faire fortune. Rapidement, il se rend compte que son ami est un escroc
et lui fait savoir qu'il ne partage pas sa manière de procéder.
Ne voulant pas d'un témoin qui pourrait devenir gênant,
Ortis fait assassiner Jean. Sa mort est annoncée en France
et Madeleine, une fois son veuvage porté, épouse François.
En réalité, Jean n'est que blessé. Il est recueilli
et soigné par une tribu, dans laquelle il s'intègre
parfaitement. Lors d'un combat contre une peuplade rivale, il est
fait prisonnier et torturé. Il subit d'atroces mutilations
au visage et décide de rentrer en France, où il se met
à la recherche de sa femme. Il la retrouve, mais elle est mariée
à François Ortis.
Rendu méconnaissable par ses blessures, Jean entre au service
de son ancien ami, en qualité de chauffeur. Lorsqu'il apprend
que Jane - par un intérêt bassement matériel -
s'est jetée dans les bras de Leperreux, il tente d'empêcher
le mariage en menaçant François de révéler
ce qu'il sait sur lui. Certain qu'on ne croira pas Jean, François
lui rit au nez et se fait tuer.
Compte tenu des circonstances, les juges acquittent Jean, qui épouse
une seconde fois Madeleine. Quant à Henry et Jane, ils peuvent
cette fois unir librement leurs destinées.
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