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Pseudonyme
Georges Sim.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
En feuilleton dans «L'Aventure » (hebdomadaire), n °
39 à 52 du 15 mars au 14 juin 1928 (soit : 14 livraisons) ;
illustrations de Pierre Dmitrow.
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Le
Gorille-Roi, 1929.
Publication en préoriginale. |
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : août 1929.
Paris, J. Tallandier ; 19 x 12 cm, 224 pages ; couverture illustrée
(M. T.) ; 2 Fr.
Collection « Grandes Aventures et voyages excentriques »
(dite « Collection Bleue », n° 274.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Le
Gorille-Roi, 1929.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Remarque(s)
Bien que développant une intrigue différente, Le
sous-marin dans la forêt, un roman publié
sous le pseudonyme de Georges
Sim (Paris, J. Tallandier, 1928), présentera un grand
nombre de similitudes avec Le Gorille-Roi : un sous-marin,
des pirates qui volent un navire transportant des diamants et qui
se comportent comme des soldats en guerre, les Yem-Yem (ces monstrueux
intermédiaires entre l'homme et le singe), une forêt
particulièrement hostile (les facétieux singes verts),
etc.
Par ailleurs, dans L'autre
univers de Simenon, Michel Lemoine estime que les ressemblances
thématiques du Gorille-Roi avec Seul
parmi les gorilles (publié sous le pseudonyme de
Christian
Brulls ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1937) incitent à
penser les deux romans ont été écrits dans le
sillage l'un de l'autre. Il semble, en effet, que Seul
parmi les gorilles ne peut avoir été rédigé
en 1937, date de sa publication.
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Intrigue
Deux officiers de marine français, Gérald Ducastaing
et Philippe Vialar, explorent le contient africain dans sa partie
orientale, entre Zanzibar et le lac Tanganyika. Le but de leur expédition
est l'étude des Yem-Yem, une redoutable tribu anthropophage,
d'hommes à la stature de gorilles qui, tout comme les singes,
sont dotés d'une queue qui leur donne un air diabolique.
Afin de rendre leur recherche plus efficace, les deux hommes se séparent,
mais correspondent régulièrement entre eux. Un jour,
Gérald reçoit un message de détresse lancé
par Philippe. Avec Bob, son serviteur noir, il part au secours de
son ami en remontant le fleuve Roufidji. Le choix de cet itinéraire
lui donne l'occasion de sauver Claude Cordier, une jeune fille à
la recherche de son père disparu. Celui-ci est un colon, propriétaire
d'une scierie, et Claude soupçonne qu'il a eu maille à
partir avec Richard Weiller, un ancien forçat devenu trafiquant
d'esclaves, qui est prêt à tous les expédients
pour satisfaire son besoin de puissance et dominer la région.
Chemin faisant, le hasard permet à Claude de retrouver son
père, fou et errant dans la forêt.
Le groupe est alors attaqué par les Yem-Yem. Bob et les Cordier
sont faits prisonniers, tandis que Gérald réussit à
s'enfuir. Les hommes-singes accordent au père Cordier la liberté
surveillée dont jouissent ceux qui sont inspirés,
mais s'apprêtent à manger Bob et Claude. A la faveur
d'un orage qui les terrorise, Gérald parvient à sauver
de justesse son serviteur et la jeune femme. Tous trois disparaissent
dans la forêt et gagnent les rives du lac Tanganyika.
Là, ils voient - sans pouvoir intervenir - Weiller et deux
complices arraisonner à la mitrailleuse un bateau qui transporte
des diamants et qui est coulé avec ses passagers. Dans le repaire
des pirates, Gérald trouve Philippe, que ces derniers retiennent
prisonnier. Il comprend avec horreur que Weiller a passé une
alliance avec les Yem-Yem et que son ami va leur être livré
pour être mangé.
Pour le sauver, Gérald tue le chef yem-yem et s'apprête
à faire de même avec Weiller. Son arme s'enraie au mauvais
moment et Gérald se retrouve en mauvaise posture. Au moment
où il reconnaît Weiller, le père Cordier retrouve
la raison et se jette sur lui. Entre les deux hommes, ce sera une
lutte à la mort. Elle sera fatale au bandit.
Entre-temps, Gérald s'est emparé de la mitrailleuse
de Weiller et met les Yem-Yem en déroute. Dans l'antre des
pirates, Gérald et Philippe découvrent une grande quantité
de dollars en or. Cette fortune leur permet de devenir les associés
du père Cordier et de développer la scierie, après
que Gérald ait pris le temps d'épouser Claude.
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