-
Pseudonyme
Georges Sim.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
-
Rédaction
Paris (France), [date non connue].
-
Manuscrit
[ ? ].
-
Publication
d'une préoriginale
Aucune.
-
Edition
originale
Achevé d'imprimer : 22 novembre 1928.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 22,5 x 18 cm, 80 pages ; couverture illustrée
en couleurs (Armengol) ; 1,75 Fr.
Collection « Les Romans d'aventures », n° 57.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
|
|
Le
lac d'angoisse, 1928.
Edition originale. |
-
Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Sous le titre Le lac des esclaves (sous le pseudonyme de Christian
Brulls).
Achevé d'imprimer : 1933.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 16 x 11 cm, 128 pages ; couverture illustrée
photo (Henri Manuel) ; 75 centimes.
Collection « Voyages et aventures », n° 14.
|
|
Le
lac d'angoisse, 1933.
Réédition. |
-
Traduction(s)
Liste non exhaustive
En italien :
1935 : Il lago dell'angoscia.
|
|
Il
lago dell'angoscia, 1935.
Edition italienne (A. Mondadori). |
-
Remarque(s)
Le lac d'angoisse est le deuxième roman de Simenon écrit
à la première personne. Ce nouveau recours à
un narrateur est plus significatif que le précédent,
Bobette
et ses satyres (publié sous le pseudonyme de Bobette
; Paris, Editions M. Ferenczi, 1928), qui s'apparente plus à
longue nouvelle qu'à un véritable roman.
-
Intrigue
Au Casino de Deauville (Calvados, France), John Spinnler, exploitant
de mines d'or, est reconnu comme étant un audacieux bandit
américain nommé Jim Sweets. Démasqué,
il est obligé de s'enfuir. Mis par hasard en sa présence,
le champion sportif Olivier Farabet et son chien Olaf l'accompagnent
dans sa fuite. Sweets profite de cette aide inattendue et demande
à son complice d'aller à Ostende chercher la
princesse Bazile, qui l'a accompagné dans son voyage en Europe.
Sitôt la mission de Farabet accomplie, le trio gagne l'Amérique
à bord du yacht de Sweets et débarque dans la baie d'Hudson.
Là, Jim engage quelques hommes de main et l'expédition
s'enfonce dans le froid et la nature inhospitalière du Grand
Nord. Sur l'initiative de Sets, le groupe se sépare en deux
et convient de se retrouver sur les rives du lac des Esclaves.
Arrivée en premier au lac, la petite troupe emmenée
par Faret est attaquée. Manifestement, on a pris le Français
pour Sets, dont le chef des assaillants le véritable
John Spinelle cherche à se venger depuis qu'il a dérobé
son or et enlevé sa fille. Après avoir détrompé
Spinelle, Olivier lui propose de l'aider à retrouver Jim Sets.
Il pense d'ailleurs que son repaire ne situe pas près du lac
des Esclaves, mais non loin de là, aux alentours du lac de
l'Ours. Les faits lui donnent raison, mais placent les justiciers
dans une situation plutôt inconfortable puisqu'ils sont pris
au piège dans l'une des nombreuses ramifications d'une caverne
qui borde le lac. La salle dans laquelle ils sont bloqués commence
à se remplir d'eau. Farabet est menacé de mort par ses
compagnons d'infortune, qui l'accusent de l'avoir entraîné
dans ce guêpier.
Olivier est sauvé de justesse par Sweets. Celui-ci lui déclare
qu'il s'appelle en réalité Duperré. Son père
a jadis connu une mort horrible, causée par Spinnler alors
que les deux hommes cherchaient de l'or dans la région du lac
des Esclaves. Jim s'est juré de venger son père.
Dans l'intervalle, Spinnler est sorti de la caverne et s'est allié
avec un groupe d'aventuriers intéressés par la prime
offerte pour la capture de Sweets/Duperré. Du coup, Farabet,
Dolly et Jim se retrouvent à nouveau assiégé
au fond de la grotte. Ce dernier est fait prisonnier. Pour le libérer,
Olivier doit se battre avec Spinnler, qui est attaqué et tué
par Olaf, le chien de Farabet.
Jim partage l'or volé à Spinnler avec les aventuriers
venus le capturer. Il retrouve ainsi la liberté, avec Dolly
et Olivier. On apprend alors que Dolly n'est que la fille adoptive
de Spinnler ; Jim pourra donc l'épouser sans la moindre arrière-pensée.
Apporter une information complémentaire
ou une correction : cliquer
ici
|
|
|
|
|
|