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Pseudonyme
Gaston Viallis.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 14 août 1930.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 136.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Lili-Sourire,
1930.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Achevé d'imprimer : 1938.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture
illustrée en couleurs [ ? ] ; 45 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 715.
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Lili-Sourire,
1938.
Réédition. |
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Intrigue
Jean Marèze est directeur d'une maison parisienne de commission,
d'importation et d'exportation. Fils d'un négociant particulièrement
retors et redouté, Hector Marèze, Jean n'est pas spécialement
doué pour les affaires. A dire vrai, son entreprise est même
proche de la faillite. Il a toutefois la chance de compter parmi
ses employées une jeune femme qui est amoureuse de lui et
qui bien qu'elle ne lui ait jamais fait part de ses sentiments
est prête à tout pour l'aider.
Lili dite Lili-Sourire se fait passer pour la secrétaire
d'Hector Mazère et va trouver les principaux créanciers
de son patron, les banquiers Lévy et Lévy, afin d'obtenir
un délai de leur part et en leur faisant croire qu'Hector
a décidé de sauver l'affaire de son fils.
La jeune femme réussit pleinement dans sa démarche
et informe Jean Mazère du délai obtenu pour le règlement
de ses créances. Pour qu'il ne se doute pas qu'elle agit
par amour pour lui, elle lui fait croire qu'elle est la maîtresse
d'un des frères Lévy.
Malheureusement, les banquiers se renseignent auprès d'Hector
Mazère et découvrent la machination de Lili.
Hector se fâche et prend les commandes de l'entreprise de
son fils, dont il règle les dettes. Il prend également
soin de licencier Lili. Pour la remercier d'être intervenue
en sa faveur, Jean se rend chez Lili. Il la surprend en conversation
avec une amie et entend l'amour dont il est, sans le savoir, l'objet.
Jean quitte le monde des affaires, pour lequel il n'est pas fait,
et devient écrivain ; un métier qui correspond mieux
à ses capacités et à ses aspirations. Bien
entendu, il épousera Lili.
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