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Pseudonyme
Jean du Perry.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : février 1927.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10, 5 cm, 79 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 60 centimes.
Collection « Le Petit Livre », n° 747.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Lili-Tristesse,
1927.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Intrigue
A Paris (France), Lili a dix-sept ans lorsque sa mère meurt.
Elle n'a jamais connu son père et trouve refuge auprès
de son oncle et de sa tante Ponsot, qui tiennent une épicerie
à Bourges. La jeune fille y est maltraitée et exploitée.
De plus, elle manque de se faire violer par son cousin Henry. Ne pouvant
plus supporter une telle situation, elle s'enfuit et, grâce
à la générosité de Maxime d'Osmont, un
académicien rencontré par hasard en gare de Bourges,
elle retourne à Paris.
Attendri par l'histoire de Lili, Maxime d'Osmont l'engage comme secrétaire.
A sa grande stupéfaction, elle retrouve ainsi André,
un jeune homme qui lui avait déclaré son amour avant
la mort de sa mère, et qui n'est aussi le fils de l'académicien.
Pendant que Lili était à Bourges, André lui a
écrit plusieurs fois mais ses lettres, subtilisées par
les Ponsot, ne sont jamais parvenues à la jeune fille.
Les jeunes gens se vouent un amour réciproque, mais malmené
par les remarques sarcastiques et malveillantes d'un cousin de Maxime
d'Osmont, un nommé des Landons. Ne voulant pas qu'on croie
son amour intéressé, Lili s'enfuit et tente de se suicider
sur la tombe de sa mère. Elle est sauvée in extremis
par un gardien du cimetière qui croit bien faire en confiant
la jeune fille aux... Ponsot. Les épiciers sont heureux de
l'aubaine car ils désespéraient de retrouver Lili dans
la capitale. S'ils tiennent à elle, c'est parce qu'ils savent
qui est le père de Lili et les recherches que celui-ci mène
à tous vents pour retrouver sa fille. Bien entendu, ils entendent
échanger les renseignements qu'ils peuvent fournir sur Lili
contre quelque argent.
Ce père n'est autre que le cousin de l'académicien,
ce désagréable des Landons qui se moquait de l'amour
entre Lili et André. Jadis, des Landons a abandonné
la mère de Lili, qu'il croyait infidèle. Les choses
finissent donc par s'arranger, au détriment des Ponsot. Lili
découvre enfin qui est son père et elle peut épouser
André sans la moindre arrière-pensée.
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