-
Pseudonyme
Jean du Perry.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
-
Rédaction
Paris (France), [date non connue].
-
Manuscrit
[ ? ].
-
Publication
d'une préoriginale
Aucune.
-
Edition
originale
Achevé d'imprimer : 19 septembre 1929.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 16 x 10,5 cm, 63 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Armengol) ; 50 centimes.
Collection « Mon livre favori », n° 440.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
-
Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
-
Intrigue
Marise Desvallons est une jeune fille moderne : de Grenoble
(Isère, France), elle est venue étudier à Paris.
Enfin, étudier est une façon de parler car,
éblouie par les mille plaisirs qu'offre la capitale, elle
ne pense qu'à s'amuser et à prendre du bon temps.
Aussi refuse-t-elle la demande en mariage de Georges Morisseau,
un garçon sérieux qui va devenir avocat, mais qu'elle
juge beaucoup trop vieux jeu pour elle.
Elle lui préfère Jean Garcin, un jeune homme fortuné
qui l'emmène s'étourdir dans les bars et les lieux
à la mode. Un soir pourtant, après une folle soirée,
il l'emmène dans sa chambre, où il exige qu'ils fassent
l'amour. Mais Marise refuse de devenir sa maîtresse, car elle
ne voit en lui qu'un camarade de sortie. Jean insiste et se montre
pressant ; Marise le repousse et l'abat d'un coup de couteau. Terrorisée
par son geste qu'elle voulait seulement dissuasif
la jeune fille se voit déjà accusée de meurtre
et pense au scandale qui ne va pas manquer de frapper ses paisibles
parents grenoblois. A son problème, elle ne voit dès
lors qu'une seule issue : le suicide.
Georges dont la chambre est voisine de celle de Jean
intervient et évite à Marise de commettre une bêtise.
Il lui propose de s'accuser à sa place... mais cela ne ferait
pas de sens. Jean n'est que blessé et il retrouve rapidement
ses esprits. Une fois soigné, il craint que Marise le dénonce
à la police pour son attitude indécente envers elle.
Les choses vont donc s'arranger et l'affaire en restera là.
Marise a compris les sentiments de Georges à son égard.
L'amour sérieux et stable ne vaut-il pas mieux que ses amusements
frelatés et forcément passagers ? Elle avoue à
Georges qu'elle l'aime aussi et ils décident de se marier.
-
Apporter une information complémentaire
ou une correction : cliquer
ici
|
|
|
|
|
|