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Pseudonyme
Jean du Perry.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 1926.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 16 x 10,5 cm, 74 pages ; couverture
illustrée en couleurs ; 75 centimes.
Collection « Le Livre épatant », n° 306.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Que
ma mère l'ignore !, 1926.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Remarque(s)
L'intrigue de Que ma mère l'ignore ! sera en partie
reprise dans Un
soir de vertige (publié sous le pseudonyme de
Georges-Martin Georges ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1928) et
Nuit de Paris (publié
sous le pseudonyme de Georges Martin-Georges ; Paris, J. Ferenczi
et Fils, 1929).
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Intrigue
Secrétaire très appréciée de ses patrons,
Germaine Moret, trente-cinq ans, vit avec sa fille Martine, dix-sept
ans, dans un coquet appartement de la rue Grenelle, à Paris
(France). Pour Germaine, tout serait parfait si sa fille ne manifestait
pas le désir de sortir, de s'amuser et de goûter aux
multiples plaisirs de la vie.
Il faut dire que Germaine garde un mauvais souvenir de sa jeunesse
et des ses envies de libertés. En effet, il y a dix-huit
ans, en proie aux mêmes désirs que sa fille aujourd'hui,
elle s'était rendue dans un bal où un étudiant
en droit dénommé Martin l'avait enivrée avant
d'abuser d'elle... puis de l'abandonner. Une fille Martine
est née de cette union éphémère.
Un soir, à l'insu de sa mère, Martine se laisse entraîner
par une amie dans une boîte de Montmartre. Elle danse ; elle
boit ; et rencontre Ernest Desterne, un jeune homme falot et malhonnête.
Elle a aussi une altercation avec Hortense d'Harbelle, une demi-mondaine
habituée de la vie nocturne, qui se moque de sa robe trop
simple. Ernest profite des cris et du désordre causé
par cette échauffourée pour dérober à
Hortense un collier précieux, qu'il confie ensuite à
Martine.
Celle-ci rentre se coucher... mais Germaine qui s'était
aperçue de l'absence de sa fille la guette. La jeune
fille se couche et, le lendemain, ne souffle pas un mot de sa nuit
à sa mère. Fouillant les affaires de Martine, Germaine
découvre le collier et craint que sa fille ne coure au-devant
de graves ennuis. Ce d'autant plus que les journaux du matin diffusent
la nouvelle du vol dont a été victime Hortense et
précisent que celle-ci a porté plainte.
Pour éviter tout problème à sa fille, Germaine
s'accuse du vol et est arrêtée. Martine comprend qu'elle
a été trompée par Desterne. Elle fait part
de ses problèmes à son voisin, Albert Darrien, un
jeune avocat qui est amoureux d'elle sans jamais avoir osé
lui faire part de ses sentiments.
Darrien réussit à faire innocenter la mère
et la fille. Il se trouve par ailleurs que le juge chargé
de l'affaire du collier est l'amant d'Hortense et que cette liaison
tapageuse commence à lui peser. Elle lui donne donc l'occasion
de se débarrasser d'une maîtresse devenue encombrante.
De plus (c'est-là l'un des coups de théâtre
dont ce genre de roman est friand !), le juge un certain
Martin Mollard n'est autre que l'amant fugitif d'autrefois...
c'est-à-dire le père de Martine. A Germaine, il se
déclare prêt à réparer sa faute de jeunesse
tandis que Martine - une fois passée la joie d'avoir résolu
le mystère de sa naissance - se rend compte qu'elle aime
Albert Darrien.
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