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Pseudonyme
G. Violis.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 14 janvier 1929 (le dernier plat de la
couverture porte : 1928).
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée
en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 52.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Rien
que pour toi, 1929.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Intrigue
A la mort de ses parents, Germaine a été recueillie
par son oncle, qui tient une auberge de montagne dans la région
de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme, France). La jeune orpheline
lui sert de domestique. Durant l'été, Marcel Duvivier,
rentier parisien et peintre du dimanche, vient passer le mois
d'août à l'auberge. Tandis que Germaine croit découvrir
avec lui le grand amour et se donne avec passion, Marcel ne voit en
elle qu'un agréable délassement vacancier.
Peu après que Marcel ait repris le chemin de la capitale, Germaine
- souffrant trop de l'absence de son amant - décide d'abandonner
son auberge et de se rendre à Paris, où elle est bien
décidée à le retrouver. Ce qu'elle réussit.
Mais Duvivier ne daigne même pas recevoir cette petite paysanne
mal fagotée, qui a le culot de venir le déranger
dans l'organisation d'une partie prévue pour le soir même.
Désespérée, Germaine échoue à La
Rotonde où un amateur de peinture nommé Boiret se
montre sensible à son désarroi. Il s'occupe de Germaine
et entreprend de la transformer extérieurement. La réussite
est telle que, lorsque Duvivier la revoit un jour par hasard, il ne
reconnaît pas la paysanne mal fagotée qu'il a
récemment éconduite. C'est donc au tour de Germaine
de se moquer de son ancien amant. Par bravade, elle veut aller jusqu'à
se donner à Boiret... mais s'évanouit au moment de s'abandonner
dans ses bras.
Boiret a compris. L'amour que Germaine porte à Duvivier est
loin d'être éteint. Il va donc lui-même plaider
la cause de la jeune femme auprès du rentier. Sa démarche
aboutit : Marcel et Germaine renouent leur relation. Ce qui n'est
pas sans causer une grande tristesse à Boiret qui, lui aussi,
commençait à aimer Germaine...
- Sources
Ouvrages
consultés et informations relatives aux recherches bibliographiques.
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