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Pseudonyme
Georges Sim.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : janvier 1928.
Paris, J. Tallandier ; 19 x 12 cm, 223 pages ; couverture illustrée
; 2 Fr.
Collection « Grandes Aventures et voyages excentriques »
(dite « Collection Bleue »), n° 194.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Le
secret des lamas, 1928.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Paris, J. Tallandier, 1954.
Collection Les
romans d'aventures de Georges Sim, n° 2.
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Le
secret des lamas, 1954.
Réédition. |
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Intrigue
Sur un bateau qui navigue vers l'Inde, un Français en quête
d'aventures, Jean Mister, fait la connaissance des membres d'une
expédition américaine qui va chercher à atteindre
le sommet de l'Everest. Ce groupe se compose de l'industriel et
explorateur, John Bird, de sa fille Ellen, d'un professeur de langues
orientales, Peterhaed et de leur guide tibétain Moghed.
Au fil des discussions, Jean Mister découvre qu'il n'est
pas insensible au charme d'Ellen et, surtout, que le véritable
but de l'expédition conduite par le père de la jeune
fille ne consiste pas à gravir le toit du monde, mais de
découvrir le Sarthal, une vallée perdue de l'Himalaya
dans laquelle viennent mourir les lamas et qui est considérée
comme la version asiatique du paradis terrestre. Le climat est si
doux qu'il y croît une variété inouïe de
végétaux et qu'elle est peuplée de panthères
inoffensives, d'éléphants débonnaires, de vieillards
au calme surhumain. Outre sa douceur inégalable de vie, cet
endroit perdu au cur des montagnes, contient des pépites
d'or d'une grosseur et d'une pureté incroyables. D'où
son nom Sarthal qui, en langue dhimal, signifie pays
de l'or.
A Calcutta, Mister s'attache les services d'un jeune Indien déluré,
Ali, et se met en route avec l'expédition américaine.
Un matin, Jean et Ali se réveillent après les autres,
qui sont déjà partis. Ils ont été drogués
par leurs compagnons de route... Lorsqu'ils les rejoignent, l'accueil
froid qui leur est réservé leur fait comprendre que,
désormais, leurs routes doivent se séparer. Jean et
Ali vont donc poursuivre leur chemin... à distance respectable
de la caravane américaine, mais sans jamais la perdre de
vue.
Il s'avère que les soupçons de Jean n'étaient
pas infondés : Bird et Perterhead se rendent bien au Sarthal.
Le professeur de langues possède des dons d'hypnotisme dont
il use pour questionner Moghed et faire en sorte, qu'à son
insu, le Tibétain les conduise dans la vallée perdue.
Ce que Bird et Perterhead ignorent, c'est que Moghed joue un double
jeu et qu'il feint d'être hypnotisé. Un Chinois, complice
de Moghed, suit d'ailleurs avec attention la progression des Américains,
mais aussi celle de Jean et Ali. Ceux-ci sont les premiers à
être faits prisonniers par le Chinois, qui les jette au fond
d'une caverne. Ils auraient dû y mourir, mais Mister a découvert
par hasard un souterrain qui les a menés à un lac
souterrain et au merveilleux Sarthal, où ils sont tombés
d'épuisement.
De manière tout à fait mystérieuse et inexpliquée,
Jean et Ali se réveillent dans une autre vallée, où
ils retrouvent la piste de Bird, Hellen et Perterhead. Ceux-ci sont
aux mains de Moghed et du Chinois, qui ont conçu l'idée
de l'expédition dans le but d'enlever les explorateurs et
de demander une rançon à leurs familles. Les Américains
ne seront libérés par Jean et Ali qu'après
une âpre lutte.
Il s'avère que le Chinois a jadis eu l'idée de découvrir
le Sarthal et, qu'à cette occasion, il a fait la connaissance
de Moghed. Les deux hommes, n'ayant pas trouvé la vallée
mythique, ont conclu qu'elle n'existait pas. Le Tibétain
est alors allé étudier aux Etats-Unis, où Perterhead
et Bird ont voulu se servir de lui pour être les premiers
à trouver le Sarthal.
Jean Mister emmène Hellen avec lui en France et l'épouse
à Paris. Bird et Perterhead sont prêts à repartir
à la recherche du Sarthal. Bien sûr, Jean ne leur a
pas montré les deux énormes pépites d'or qu'il
a ramené de son bref séjour dans la vallée
paradisiaque...
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