Le semeur de larmes
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Georges Sim.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 18 mai 1928.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture illustrée (Georges Vallée) ; 60 centimes.
    Collection « Le Petit Livre », n° 810.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      Le semeur de larmes, 1928.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Réédition :
    Achevé d'imprimer : mai 1939.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture illustrée (Georges Vallée) ; 95 centimes.
    Collection « Le Petit Livre », n° 1'392.


      Le semeur de larmes, 1939.
    Réédition.


  • Intrigue
    A Etretat (Seine-Maritime, France), la jeune Gilberte Méret succombe au charme de Max Darnetal. Le bellâtre va jusqu'à demander sa main... et à l'obtenir. Si le père de Gilberte a tout de suite accepté l'idée de cette union, il n'en va pas de même pour sa mère et de sa cousine Hélène, qui aimerait bien être à la place de Gilberte.

    Le jour où Gilberte surprend sa mère en compagnie de son fiancé, elle comprend mieux les réticences de celle-ci et en conçoit des soupçons que ses recherches confirment. Il y a cinq ans, Max a été l'amant de sa mère. Non seulement celle-ci avoue cette liaison à sa fille, mais elle lui annonce aussi que Darnetal a exigé d'elle la somme de 100'000 francs pour renoncer à son projet de mariage.

    Afin de montrer à Max le dégoût que désormais il lui inspire, c'est Gilberte elle-même qui décide de remettre au suborneur la somme qu'il demande et qui a été dérobée à son père. En contrepartie, elle réclamera à Darnetal les lettres compromettantes que lui a écrites sa mère alors qu'elle était sa maîtresse.

    L'échange a lieu dans la chambre de l'hôtel où loge Darnetal. Au même moment, Mme Méret avoue sa faute à son mari, qui se montre magnanime et lui pardonne avant de se lancer à la recherche de sa fille. Bien lui en prend car Gilberte manque de se faire piéger et de perdre sa vertu. Son père la tire in extremis de la délicate situation dans laquelle elle se trouve. D'un seul coup, Darnetal perd sa proie et l'argent qu'il venait de lui soutirer.

    Les Méret se retrouvent heureux et unis grâce à la vérité qui a été dite et à l'éclairage porté sur la véritable personnalité de Darnetal.


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