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Pseudonyme
Jean du Perry.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : 11 juin 1928.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 15,5 x 10,5 cm, 63 pages ; couverture
illustrée en couleurs (Armengol) ; 50 centimes.
Collection « Mon livre favori », n° 373.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Trois
curs dans la tempête,
1928.
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Intrigue
A Saint-Tropez (Var, France) où elle vit avec sa sur
de lait, Monette, Jane Médanges est une jeune veuve, amoureuse
d'Yves Dubail et aimée par lui. Aussi doit-elle repousser avec
énergie les avances répétées de l'un de
ses riches voisins, le comte Protov.
Jaloux de Dubail et fou de rage de se voir ainsi éconduit,
Protov feint de s'intéresser à Monette. Séducteur
invétéré, il parvient facilement à la
faire succomber et à l'inviter sur son yacht, l'Eléphant
blanc. Lorsque Jane apprend où se trouve Monette, elle
monte aussitôt à bord afin de la sortir des griffes du
dangereux don juan. Le comte saisit immédiatement tout le parti
qu'il peut tirer de la situation et ordonne à ses marins de
prendre la mer.
Par chance, Dubail est lui aussi en train de naviguer et il peut prendre
en chasse l'Eléphant blanc. Une tempête éclate
et le bateau de Dubail - une embarcation nettement moins résistante
que le yacht de Protov - ne tarde pas à prendre l'eau, puis
à sombrer.
Tandis que Dubail est sur le point d'être englouti, le compte
propose à Jane de sauver son amant, à condition qu'elle
lui déclare s'être donnée à lui. Si elle
refuse, non seulement il laissera Dubail se noyer, mais en plus il
précipitera Monette à la mer.
Jane accepte l'odieux marché du comte et Dubail est recueilli
à bord de l'Eléphant blanc. Lorsqu'il apprend
que Jane est devenue la maîtresse de Protov, Dubail a un geste
de rage et de désespoir. Il provoque une brèche dans
la coque du yacht, espérant ainsi que les flots emporteront
ceux qu'il croit désormais unis par la chair.
L'Eléphant blanc est sur le point de couler lorsque
Dubail comprend la vérité et devine le rôle que
son rival a fait jouer à Jane. Tandis que le comte se jette
à l'eau dans le but de gagner le rivage à la nage, Dubail
intime aux marins, qui veulent le suivre, de rester à bord
et de pomper l'eau.
Au petit matin, la mer s'est calmée et le bateau flotte au
large de Nice. Dubail, Jane, Monette et les marins de l'Eléphant
blanc sont sauvés. Plus tard, Dubail épousera Jane.
Quant à Protov, il a été sauvé de la noyade,
certes, mais il a perdu la raison.
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