Voleuse d'amour
Roman sentimental

  • Pseudonyme
    Georges-Martin Georges.
    Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.


  • Rédaction
    Paris (France), [date non connue].


  • Manuscrit
    [ ? ].
    Titre primitif non retenu : Voleuse d'âmes.


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Achevé d'imprimer : 25 mars 1929.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° 62.
    Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.


      Voleuse d'amour, 1929.
    Edition originale.


  • Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    Réédition :
    Achevé d'imprimer : 1936.
    Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
    Collection « Le Petit Roman », n° [ ? ].


      Voleuse d'amour, 1936.
    Réédition.


  • Intrigue
    Henry et Martine d'Etaces forment un couple uni, jusqu'à ce qu'Henry tombe amoureux de la jeune et jolie Georgette, un mannequin qui se refuse obstinément à lui tant qu'il n'aura pas divorcé. La passion qui dévore Henry est comparable à une maladie et il est sur le point de se tuer de chagrin.

    Sentant le danger, Martine est prête à tout accepter pour sauver son mari. Elle va jusqu'à supplier Georgette de devenir la maîtresse d'Henry. La jeune femme se moque de Martine et rit de son indécente proposition. Humiliée, Martine saisit un chenet et frappe sa rivale, qui s'écroule. Henry, qui a assisté à la scène à l'insu des deux femmes, intervient fort à propos pour éviter que la dispute ne prenne une tournure dramatique.

    Georgette, qui n'est que légèrement blessée, demande à Henry de fuir avec elle. A son grand désarroi, il refuse et lui remet une forte somme d'argent pour qu'elle disparaisse à jamais de sa vie.

    Quant à Martine, après tout ce qu'elle vient de vivre, elle est en proie à une violente fièvre nerveuse. Une fois la crise passée, Henry lui avoue avoir tout entendu de sa conversation avec Georgette et lui assure que ses yeux se sont ouverts. Il a compris où est le véritable amour et veut oublier la passion qui l'a temporairement aveuglé.

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