La main dans la main
Récit à caractère autobiographique

[Dictées ; 10]

  • Enregistrement
    Lausanne (Vaud, Suisse), du 24 août au 9 novembre 1976.


  • Supports originaux
    Enregistrement sur cassettes.
    Dactylographie : 2 volumes avec reliure noire (pp. 1-124, pp. 125-247 ; une dédicace signée et datée en tête de chaque volume ; corrections de l'auteur ; signature.
    Conservation : un exemplaire de la dactylographie avant correction par l'auteur au Fonds Simenon (Liège, Belgique).


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Tirage de tête

    Achevé d'imprimer : 27 juillet 1978.
    Paris, Presses de la Cité ; 26,5 x 17,5 cm, 164 pages ; en feuilles, sous double emboîtage d'édition bleu marine.
    50 exemplaires de luxe, numérotés de 1 à 50.


      La main dans la main, 1978.
    Edition originale, tirage de tête.


    Tirage courant

    Achevé d'imprimer : 27 juillet 1978.
    Paris, Presses de la Cité ; 24 x 15,5 cm, 164 pages ; couverture en carton léger illustrée en couleurs.


      La main dans la main, 1978.
    Edition originale, tirage courant.


  • Réédition(s) en français
    Aucune.


  • Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    In Tout Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993) - tome 26.
    In Tout Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome 26.


  • Traduction(s)
    Liste non exhaustive

    En allemand :
    [ ? ] : [ ? ].

    En anglais :
    [ ? ] : [ ? ] (première édition américaine).
    [ ? ] : [ ? ] (première édition anglaise).

    En italien :
    [ ? ] : [ ? ].


  • Sujet
    [Source : Mathieu Rutten in Simenon (Nandrin, Eugène Wahle, 1986).]

    Dans La main dans la main, Simenon rappelle qu'autrefois, à l'instar de n'importe quel individu, il était fait « d'une pâte malléable, et le moule dans lequel on nous coule insidieusement laisse des traces dans notre personnalité ».

    Qui plus est : « Quoi que nous fassions, il y a toujours une plus ou moins petite part de notre enfance qui nous poursuit. Nous nous croyons libres. Nous façonnons nos propres pensées, nos opinions. Il n'en reste pas moins qu'à une occasion ou à une autre, cette enfance revient à la surface et qu'elle nous dicte des gestes que notre raison réprouve ».

    Ceci vaut pour la vieillesse, cette enfance retrouvée : « En somme, nous passons de l'enfance plus ou moins inconsciente à la vieillesse qui l'est peut-être aussi. Entre les deux pôles de notre vie, vient se glisser une période d'agitation, de faim dévorante, si je puis dire, mais c'est aux deux bouts que l'on rencontre la sérénité, c'est-à-dire l'innocence ».




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