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Rédaction
Boulevard Richard-Wallace 7, Neuilly-sur-Seine (France), durant
l'hiver 1937-1938 [ ? ].
Selon la liste secrétariale de
Simenon : La Rochelle (Charente-Maritime, France), en avril 1938.
Selon le livre de comptes
de Simenon : Nieul-sur-Mer (Charente-Maritime, France), durant l'hiver
1939-1940.
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication d'une préoriginale
Dans l'hebdomadaire « Police-Film/Police-Roman »,
[première série] n° 29 du 11 novembre 1938.
Paris, Société parisienne d'édition ; 26,5
x 17,5 cm, 16 pages ; illustrations de Raymond Moritz, couverture
illustrée (R. Moritz).
Série « Les nouvelles enquêtes du commissaire
Maigret ».
L'auberge aux noyés, 1938.
Publication en préoriginale.
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Edition originale
In Les
nouvelles enquêtes de Maigret (Paris, Gallimard,
N.R.F., 1944).
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Les nouvelles enquêtes
de Maigret, 1944.
L'auberge aux noyés.
Edition originale.
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Réédition(s)
en français
Liste non exhaustive
[En préparation].
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Edition(s) collective(s)
en français
Liste non exhaustive
In uvres
complètes (Lausanne, Editions Rencontre, 1967-1973)
- tome IX.
In Tout
Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993)
- tome 25.
In Tout
Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome
25.
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Traduction(s)
Liste non exhaustive
En allemand :
[ ? ] : Das Wirtshaus zu den Ertrunkenen.
En anglais :
1975 : The Inn of the Drowned
(première édition américaine).
1965 : The Inn of the Drowned
(première édition anglaise).
On trouve aussi : The
Drowned Men's Inn.
En italien :
1962 : La locanda degli annegati.
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Adaptation pour la télévision
Liste non exhaustive
L'auberge aux noyés, téléfilm
français de Jean-Paul Sassy.
Scénario et dialogues : [ ? ].
Avec : Jean
Richard (Maigret), Annick Tanguy, André Penvern,
François Cadet, Bernard Lajarrige, Jean-Paul Bouillaud, Jean-Pierre
Castaldi
Première diffusion : Antenne 2 (France), le [ ? ] 1989.
[Série des téléfilms Maigret/Jean Richard ;
85].
- Intrigue
Pour une affaire de moindre importance, le commissaire Maigret se
rend à Nemours (Seine-et-Marne, France). Pendant son séjour,
il se produit dans les environs un événement curieux,
à propos duquel il diligente une enquête. En effet, sur
la route qui lie Nemours à Montargis, non loin d'un restaurant
appelé L'Auberge aux Noyés, un camion heurte
une voiture - un soir de pluie - et la précipite dans le Loing.
Lorsqu'on retire le véhicule de la rivière, on ne trouve
pas trace de son ou ses occupants. Par contre, dans le coffre, on
fait une macabre découverte : une femme, la gorge tranchée,
y est enfermée.
Justin Rozier, le patron de L'Auberge aux Noyés, reconnaît
la voiture. Elle appartient à un Parisien, Jacques Vertbois
(vingt ans), courtier en publicité, descendu l'avant-veille
dans son établissement en compagnie d'une jeune fille, Viviane
La Pommeraye (dix-sept ans), sa maîtresse. Tous deux ont cependant
disparu.
Maigret contacte le père de Viviane, Germain de La Pommeraye,
un honorable notaire de Versailles, qui lui apprend que sa fille s'est
amourachée de Jacques Vertbois, un aventurier et chasseur de
dot qu'il a fermement éconduit. Raison pour laquelle elle s'est
enfuie avec lui.
Le témoignage du conducteur du poids lourd, Jean Lecoin, ne
convainc pas Maigret. Il procède alors à une reconstitution
des événements. Pendant le même trajet que la
nuit de l'accident, le commissaire démontre au camionneur que
son histoire n'est pas cohérente. Celui-ci prend peur et avoue
à Maigret que Vertbois l'a payé pour pousser sa voiture
dans la rivière. Il lui a dit vouloir simuler un suicide parce
que le père de la jeune fille qui l'accompagne s'est opposé
à leur mariage. Ensuite, Lecoin à conduit les deux amants
chez un ami pompiste à Montargis.
C'est là que Maigret retrouve leur trace. Jacques et Viviane
tentent encore une fois de fuir. Si la jeune fille échappe
à la police, il n'en va pas de même de Vertbois qui,
dans sa course, tombe et se casse une jambe. Maigret n'a plus qu'à
le cueillir.
Après que sa demande en mariage ait été rejetée
par Me La Pommeraye, Vertbois s'en est pris à l'une des ses
autres maîtresses. Il a assassiné Marthe Dorval (entre
quarante-cinq et cinquante ans), une ancienne chanteuse d'opérette
qu'il a ensuite délestée de ses économies pour
prendre la fuite avec Viviane.
La fille du notaire est finalement retrouvée à Bourges,
saine et sauve, et reconduite au domicile de ses parents. Elle n'a
rien à voir avec le meurtre de Marthe Dorval, son amant ayant
agi seul.
- Sources
Ouvrages
consultés et informations relatives aux recherches bibliographiques.
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