-
Edition originale
Achevé d'imprimer : 11 juin 1954
Paris, Presses de la Cité ; 17,5 x 11,5 cm, 221 pages ; couverture
en carton léger, illustration photo sur fond noir ( «
Maigret » est imprimé en couleurs).
Tirage de tête
100 exemplaires sur vélin pur fil, numérotés
de 1 à 100.
L'illustration de la couverture est la même pour les deux tirages
(tirage de tête et tirage courant).
|
|
Maigret et la
jeune morte, 1954.
Edition originale. |
-
Réédition(s)
en français
Liste non exhaustive
|
|
Maigret et la
jeune morte, 1983.
Réédition (Presses de la Cité). |
-
Edition(s) collective(s)
en français
Liste non exhaustive
In uvres
complètes (Lausanne, Editions Rencontre, 1967-1973)
- tome XVIII.
In Tout
Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993)
- tome 7.
In Tout
Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome
7.
-
Traduction(s)
Liste non exhaustive
En allemand :
[ ? ] : Maigret und di junge Tote.
On trouve aussi : Maigret und die Unbekannte.
|
|
Maigret und
die Unbekannte, 1960.
Edition allemande (Bertelsmann). |
En anglais :
1955 : Inspector
Maigret and the Dead Girl
(première édition américaine).
1955 : Maigret and the Young Girl
(première édition anglaise).
|
|
Maigret and
the Young Girl, 1955.
Edition anglaise (Hamish Hamilton). |
|
|
Maigret and
the Young Girl, [ ? ].
Edition [ ? ]. |
En italien :
1957 : Maigret e la givanne morta.
|
|
Maigret e la
giovanne morta, 1957.
Edition italienne (A. Mondadori). |
-
Adaptation(s) pour la télévision
Liste non exhaustive
Sous le titre Maigret and the Lost Life, téléfilm
anglais de Campbell Logan.
Scénario : Giles Cooper.
Avec: Basil Sydney (Maigret), Philip Guard, Andre Van Gyseghem, Henry
Oscar, Anne Blake, Patrick Troughton
Première diffusion : BBC TV (Grande-Bretagne), le 4 décembre
1959.
Sous le titre The Lost Life, téléfilm
anglais de Gilchrist Calder.
Scénario : Giles Cooper.
Avec: Rupert Davies (Maigret), Ewen Solan, Helen Shingler, Neville
Jason, Victor Lucas, Henry Oscar, Olga Lindo, Patsy Smart, Marne Maitland,
Vanda Godsell, Eileen Way
Première diffusion : BBC TV (Grande-Bretagne), le 15 octobre
1963.
Maigret et la jeune morte, téléfilm français
de Claude Boissol.
Adaptation et dialogues : Jacques Rémy et Claude Barma.
Avec : Jean
Richard (Maigret), François Cadet, Jean-François
Devaux, Bernard Lajarrige, Hervé Sand, Irina Tarassov, Ginette
Leclerc, Eléonore Hirt, Jany Holt, Carlo Nell, Florence Blot
Première diffusion : TV 2 (France), le 28 décembre 1973.
[Série des téléfilms Maigret/Jean Richard ; 23].
-
Intrigue
Une nuit de mars, l'inspecteur Lognon découvre le cadavre d'une
jeune fille en robe de soirée sur la place Vintimille (Paris,
France). Mais, une nouvelle fois, le Malgracieux devra laisser au
commissaire Maigret le soin de mener l'enquête et, comme d'habitude,
ce ne sont que les tâches secondaires qui lui seront confiées,
ce qui n'est pas pour arranger ses complexes d'infériorité
et de persécution.
Maigret identifie la victime : il s'agit de Louise Laboine (vingt
ans). Elle vient de la Côte d'Azur où , il y a quatre
ans, elle a laissé sa mère, Germaine (environ soixante
ans), dite Lili, une demi-folle qui hante quotidiennement le casino
de Nice. Dans le train, Louise fait la connaissance de Jeanine Armenieu
(vingt-deux ans), une Lyonnaise qui, comme elle, monte à
Paris dans l'espoir d'y faire fortune.
Les deux jeunes femmes décident de tenter leur chance ensemble
et louent un meublé rue de Ponthieu. Rapidement, Jeanine connaît
la réussite en se faisant ouvrir les portes de la haute société.
Au contraire, Louise végète et vit le plus souvent aux
crochets de son amie. Foncièrement honnête et d'une moralité
irréprochable, la jeune femme n'arrive pas à apprendre
les règles du jeu qui lui aurait permis de réussir
dans la capitale.
Lorsque Jeanine quitte leur meublé de la rue de Ponthieu
pour épouser un riche homme d'affaires italien, Marco Santoni,
Louise se sent perdue. Quelquefois, les deux amies se sont revues
et Jeanine a donné un peu d'argent à Louise. Ce qui
ne l'empêche pas de sombrer dans la misère et de désespérer.
Faute de pouvoir continuer à payer le loyer du meublé,
Louise quitte à son tour la rue de Ponthieu.
Un jour, un Américain nommé Jimmy O'Malley cherche à
remettre une lettre à Louise. Mais la concierge de l'immeuble
de la rue de Ponthieu ne connaît pas la nouvelle adresse de
son ancienne locataire. Jeanine l'ignore également.
Alors, cette lettre, O'Malley finit par la confier au patron d'un
débit de boissons plutôt louche de la rue de l'Etoile,
le Pickwick's Bar. La veille de sa mort, Louise participe aux
noces de Jeanine et Marco. Durant le banquet, la mariée informe
son amie que, depuis quelque temps déjà, un Américain
a déposé pour elle une lettre importante au Pickwick's.
C'est là que Louise s'est rendue le soir du meurtre. Albert
Falconi (trente-cinq ans), le patron du bar, n'a pas pu s'empêcher
d'ouvrir le message destiné à Louise. Celui-ci lui indiquait
comment elle pouvait entrer en possession, à Brooklyn, d'une
somme de 100'000 dollars.
Falconi et un complice, Bianchi, ont tenté de voler à
Louise sa carte d'identité. Comme celle-ci s'est débattue,
ils l'ont matraquée à mort. Grâce à l'inspecteur
Clark, du FBI à Washington, la police américaine mettra
la main sur les 100'000 dollars.
Cet argent est le produit de divers larcins commis par Julius Van
Cram, un escroc international qui est aussi le père que Louise
n'a jamais connu. Avant de mourir dans un pénitencier américain,
Van Cram a confié à son ami O'Malley le soin de faire
savoir à sa fille comment elle pourrait hériter
de la fortune qu'il avait mise en lieu sûr chez un truand de
Brooklyn.
Avec la carte d'identité de Louise, Falconi et Bianchi pensaient
s'approprier les dollars et doubler la jeune femme.
-
Apporter une information complémentaire
ou une correction : cliquer
ici
|
|
|
|
|
|