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Pseudonyme
Georges Sim.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication
d'une préoriginale
Aucune.
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Edition
originale
Achevé d'imprimer : décembre 1929.
Paris, J. Tallandier ; 18,5 x 11,5 cm, 221 pages ; couverture illustrée
; 2 Fr.
Collection « Romans populaires » (dite « Collection
Rouge »), n° 721.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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La
femme en deuil, 1929
Edition originale. |
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Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
[En préparation].
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Remarque(s)
Après Une
femme a tué (sous le pseudonyme de Jean
du Perry ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1929), La femme
en deuil offre un nouveau remaniement de La
femme qui tue (publié sous le pseudonyme de Georges
Sim ; Paris, A. Fayard, 1929).
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Intrigue
René et Jacqueline Bécherel concrétisent un
rêve de longue date en achetant un petit cotre à bord
duquel ils partent en croisière. Ils embarquent à
Saint-Malo (Ille-et-Vilaine, France) et entendent gagner Biarritz.
Ils s'attardent toutefois à l'île d'Aix, où
ils font escale, séduits par l'agréable atmosphère
charentaise. Au large de l'île, ils découvrent l'épave
d'une goélette qui a coulé en 1813 et qui contient
un fabuleux trésor. René et Jacqueline projettent
de repêcher ces richesses enfouies sous l'eau et, malgré
les précautions prises pour que leur découverte reste
secrète, l'existence du trésor parvient jusqu'aux
oreilles du comte hongrois Protov, un homme bien connu du Tout-Paris,
dont le yacht est amarré à La Rochelle.
Une nuit, Protov n'hésite pas à lancer son bateau
contre l'embarcation des Bécherel, qui est éventrée
et coule à pic. Jacqueline réussit à atteindre
la côte à la nage, au contraire de René qui
meurt noyé. La jeune femme ne pense dès lors plus
qu'à venger son mari. Déguisée en homme, elle
se rend à Paris et prend pension rue Daru, non loin de l'avenue
du Bois où habitent Protov et son fils, Jean.
Sans le savoir, Jacqueline occupe une chambre qui jouxte celle occupée
par un inspecteur de police, Gérard Moniquet. Celui-ci ne
manque pas d'être intrigué par le comportement de son
étrange voisin, le prend en filature et finit par découvrir
qu'il a affaire à une jeune femme. Une nuit toujours
suivie par Moniquet Jacqueline pénètre dans
le riche immeuble occupé par les Protov, puis en ressort
blessée. L'inspecteur parvient néanmoins à
la raccompagner rue Daru, où il la soigne. Dès que
possible, elle prend la fuite et Moniquet apprend que le compte
Protov a été assassiné. Il demande alors à
ses supérieurs d'être chargé de l'enquête,
car il est certain que Jacqueline est l'auteur de crime et ressent,
pour la jeune femme, une certaine attirance.
Ses investigations conduisent l'inspecteur Moniquet à La
Rochelle, où il embarque clandestinement à bord du
yacht de la famille Protov. Durant la nuit, tous feux éteints,
le bateau se dirige au large de l'île d'Aix, sur le lieu même
de l'accident qui provoqua la mort de René Bécherel.
Là se trouve un sloop sur lequel le policier reconnaît
Jacqueline. Comme lors de l'abordage précédent, le
yacht fonce droit sur le sloop. Moniquet tente bien de modifier
le cap du yacht, mais trop tard. Il ne peut éviter la collision
et une violente explosion projette l'inspecteur à la mer.
Blessé, il est recueilli à bord du sloop, qui n'a
pas coulé, et retrouve Jacqueline, elle-même blessée,
alors qu'elle avait tenté de dynamiter le yacht avant que
Moniquet fasse échouer son projet en changeant la trajectoire
du bateau.
Tant bien que mal, les rescapés gagnent l'île d'Oléron.
De là, Moniquet conduit Jacqueline qui a sombré
dans un état proche de la folie à Paris, où
elle sera soignée. Progressivement, la jeune femme reprend
ses esprits et explique à l'inspecteur les raisons qui l'ont
conduit à tuer le comte Protov. Elle lui confie aussi que
sa haine s'atténue et qu'elle entend reprendre pied dans
la vie quotidienne.
Moniquet, ne désespérant pas de se faire un jour aimer
de Jacqueline, quitte la police et devient journaliste. Quant à
Jean Protov, le fils du comte, il meurt peu après, assassiné
par un de ses matelots.
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