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Haïr
à force d'aimer
Roman sentimental |
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Pseudonyme
G. Vialis.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication d'une préoriginale
Aucune.
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Edition originale
Achevé d'imprimer : 4 juin 1928.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 20.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Achevé d'imprimer : 19 mars 1936.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 427.
Haïr à force d'aimer, 1939.
Réédition.
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Remarque(s)
Haïr à force d'aimer reprend, sous une forme simplifiée, l'intrigue qui régit Les adolescents passionnés, un roman publié la même année sous le pseudonyme de Christian Brulls (Paris, A. Fayard, 1928).
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Intrigue
Après avoir fait fortune, Jean revient à Paris (France) pour voir Martine qui, neuf ans plus tôt, l'a quitté parce qu'il était pauvre. Aujourd'hui, la jeune femme est mariée au banquier Delarue-Millière, qui ne se gêne pas pour la tromper.
Déçu par Martine, Jean devient l'amant de Blanche, la maîtresse de Delarue-Millière. Pour se venger d'un tel affront, le banquier se rend au domicile de son rival et se donne la mort.
Bien entendu, Jean est le coupable tout désigné. Aussi est-il arrêté et emprisonné. Sur le point d'être condamné, il est sauvé par Martine qui apporte à la justice la preuve que son mari s'est tiré une balle de revolver chez Jean dans le but de lui faire payer sa liaison avec Blanche.
Martine fait preuve de grandeur d'âme en sauvant Jean des affres de l'injustice. Pourtant, depuis qu'elle a été témoin de son amour pour une autre, elle n'espère plus rien de celui que, malgré tout, elle aime toujours.
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