-
Pseudonyme
Jacques Dersonne.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
-
Rédaction
Paris (France), [date non connue].
-
Manuscrit
[ ? ].
-
Publication
d'une préoriginale
Aucune.
-
Edition
originale
Achevé d'imprimer : 20 décembre 1929.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée
en couleurs (Georges Vallée) ; 25 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 102.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
|
|
La
merveilleuse aventure, 1929.
Edition originale. |
-
Réédition(s)
/ Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Achevé d'imprimer : 13 juillet 1938.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 32 pages ; couverture illustrée
(non signée) ; 40 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 667.
|
|
La
merveilleuse aventure, 1938.
Réédition. |
-
Remarque(s)
Le thème du pari à la suite duquel un riche désuvré
trouve l'amour formait déjà la base de l'intrigue dans
Etoile
de cinéma (sous le pseudonyme de Goerges
d'Isly ; Paris, F. Rouff, 1925) et dans Un
soir de vertige (sous le pseudonyme de Georges-Martin
Georges ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1928).
-
Intrigue
Ils sont jeunes, riches et désuvrés, les trois
compères qui après avoir vu une pièce
de théâtre dont ils discutent poussent la porte
du Maxim (Paris, France). Ils n'arrivent pas à se mettre
d'accord sur la question de savoir si toutes les femmes sont à
acheter. A ce propos, Georges Etiévant soutient avec conviction
qu'il obtiendrait plus facilement les faveurs des maîtresses
de ses deux amis, que celles de la petite marchande de violettes qui
se tient à l'entrée de l'établissement.
Quel prix faudrait-il mettre pour l'acheter ? Les trois jeunes gens
se lancent un pari et Georges est le premier à ouvrir le jeu.
Il aborde Jeannette la marchande de violettes s en l'assurant
que sa beauté lui vaudrait très certainement de faire
carrière au cinéma. Devant une telle perspective, Jeannette
n'est pas insensible et elle tombe dans le piège. Mais pas
jusqu'au bout, car elle ne se donne pas à Georges qui, petit
à petit, devient amoureux d'elle.
Quoi qu'il en soit, au bout de huit jours, Georges n'est pas parvenu
à ses fins et doit passer le relais à son ami Nadin.
Très vite, Jeannette comprend qu'elle est victime d'un pari
entre les trois amis. Elle se refuse au deuxième prétendant,
comme elle l'avait fait avec le premier.
Nullement vexée d'avoir été séduite par
jeu, Jeannette va retrouver Georges et lui déclare qu'elle
l'aime. Celui-ci est ravi par le dénouement pris par cette
affaire et emmène derechef la jeune femme en voyage
d'amour sur la Côte d'Azur.
Apporter une information complémentaire
ou une correction : cliquer
ici
|
|
|
|
|
|