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La noce
à Montmartre
[Le dernier jour du Picratt's Bar] Roman léger |
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Pseudonyme
Gom Gut.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication d'une préoriginale
Aucune.
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Edition originale
Achevé d'imprimer : pas d'achevé d'imprimer [décembre 1925].
Paris, Editions Prima ; 18,5 x 12 cm, 64 pages ; illustrations ; couverture illustrée en couleurs ; 1 Fr.
« Collection Gauloise », n° 42.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
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Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
En feuilleton dans l'hebdomadaire « Frou-Frou », n° 188-191 du 7 au 28 juillet 1926 (soit 4 livraisons), sous le titre Le dernier jour du Picratt's Bar.
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Remarque(s)
Dans L'autre univers de Simenon, Michel Lemoine précise qu'on retrouve dans La noce à Montmartre, le fameux Picratt's Bar d'Aux vingt-huit négresses (publié sous le pseudonyme de Gom Gut ; Paris, Editions Prima, 1925). Il enflammera encore, dans l'œuvre populaire de Simenon, les folles nuits montmartroises du Feu s'éteint (publié sous le pseudonyme de Georges Sim ; Paris, A. Fayard, 1927), Miss Baby (publié sous le pseudonyme de Georges Sim ; Paris, A. Fayard, 1928) et de Victime de son fils (publié sous le pseudonyme de Jacques Dersonne ; Paris, J. Ferenczi et Fils, 1931) ; ainsi que dans plusieurs romans et nouvelles publiées sous le patronyme de l'auteur.
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Intrigue
Elie Byrd est un touriste américain venu visiter Paris (France)... et ses quartiers chauds. Une nuit, à Montmartre, il se laisse prendre au piège d'une soirée orgiaque organisée par le Picratt's Bar sur le thème « Tous en chemise... et même sans chemise ! »
Le Picratt's qu'Elie considère comme une boîte bien sympathique est en réalité un établissement qui marche mal. Aussi sa propriétaire, Mme Marthe, profite-t-elle de l'ivresse de cette folle soirée, pour le vendre très cher à Elie. Dans cette transaction, l'Américain n'a vu que la possibilité de coucher gratuitement avec les prostituées qui fréquentent le bar.
La vente s'est faite au détriment de Gaston, le gérant du Picratt's, qui espérait pouvoir acquérir la boîte pour une bouchée de pain. Toutefois l'argent file et le nouveau patron ne tarde pas à se rendre compte qu'il vient de faire un mauvais placement. De plus, les prostituées ne veulent rien savoir du fantasme qui l'a conduit à acheter le bar s'il ne les paie pas.
L'affaire continue de péricliter, jusqu'à ce qu'Elie se trouve au bord du gouffre. Il faut dès lors bien se résoudre à l'impensable : faire venir de Chicago Mme Bird. Sitôt débarquée à Paris, Héloïse Bird succombe au charme de Gaston. Il l'incite à racheter le Picratt's Bar, tout en s'octroyant au passage un pourcentage important.
Ce qui prouve que Gaston a une âme pleine de noirceur, qu'Elie Bird achète une nouvelle fois le Picratt's Bar tout en le vendant et que, de surcroît, il est cocu.
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