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Le sang
des gitanes
Roman sentimental |
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Pseudonyme
Georges Sim.
Liste des ouvrages publiés sous le même pseudonyme.
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Rédaction
Paris (France), [date non connue].
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Manuscrit
[ ? ].
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Publication d'une préoriginale
Aucune.
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Edition originale
Achevé d'imprimer : 28 novembre 1928.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 95 pages ; couverture illustrée (Georges Vallée) ; 60 centimes.
Collection « Le Petit Livre », n° 838.
Pas de grands papiers, ni de tirage numéroté.
Le sang des gitanes, 1928.
Edition originale.
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Réédition(s) / Edition(s) collective(s) en français
Liste non exhaustive
Réédition :
Achevé d'imprimer : 30 août 1939.
Paris, J. Ferenczi et Fils ; 14 x 10,5 cm, 96 pages ; couverture illustrée (Georges Vallée) ; 95 centimes.
Collection « Le Petit Roman », n° 1'398.
Le sang des gitanes, 1939.
Réédition.
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Remarque(s)
Le sang des gitanes utilise, en l'abrégeant et en la simplifiant, la trame de L'amant sans nom, un roman publié sous le pseudonyme de Christian Brulls (Paris, A. Fayard, 1929).
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Intrigue
Jeune juriste, Albert Violis passe des vacances ennuyeuses aux Sables-d'Olonne (Vendée, France). Plus par désœuvrement que par passion, il devient l'amant de Martine Barnet, qui devient folle de lui. Malheureusement pour elle, Albert tombe amoureux d'Huguette, la nièce de Martine, dès le premier jour où il la rencontre. Cette nouvelle idylle n'a toutefois pas le temps d'éclore que le mari de Martine est assassiné.
Violis est arrêté : il fait un coupable idéal, lui qui a rendu visite à sa maîtresse la nuit du crime. De plus, sentant que son amant était sur le point de lui échapper, Martine ne fait rien pour lever les soupçons qui l'accablent. Albert demande à son ami Fléchier d'assurer sa défense. Dans un premier temps, celui-ci plaide la cause d'Albert auprès de Martine, qu'il réussit à troubler.
Martine avoue alors à Fléchier, qu'avant d'épouser Barnet, elle était la gitane Zita, une jeune fille éprise de liberté et au tempérament fougueux. Son mariage a rapidement tourné à l'aigre, car son mari n'a pas tenu la promesse qu'il lui avait faite de lui laisser toute sa liberté. Quant à Violis, elle est le premier homme qu'elle ait vraiment aimé. Aussi, durant la nuit tragique, lorsque Barnet — par jalousie — s'est mis en tête d'abattre son rival, Martine a-t-elle décidé de le tuer.
Huguette qui a surpris la confession de Martine est accablée car elle aime aussi sincèrement Violis. Elle est prête à s'effacer au profit de Martine et à quitter les Sables-d'Olonne... mais elle s'évanouit d'émotion. Ce qui touche profondément Martine, qui décide de se livrer à la justice.
Remis en liberté, Albert Violis épouse Huguette. Pour sa part, Fléchier entend assurer la défense de Martine, la faire acquitter et l'épouser ensuite.
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