La nuit
des sept minutes
[L'affaire des 7 minutes]
Nouvelle
Rédaction
A bord de l'Ostrogoth, Morsang-sur-Seine (Seine-et-Oise, aujourd'hui
Essonne, France), en avril 1931
Selon le livre de comptes de Simenon : juin 1931 (pour la série
G.7).
Manuscrit
[ ? ].
Publication
d'une préoriginale
Dans l'hebdomadaire « Marianne » (supplément),
n° 23-25 des 29 mars, 5 et 12 avril 1933 (soit 3 livraisons) ;
illustrations (photos).
La nuit des sept minutes, 1933.
Publication en préoriginale.
Edition
originale (publication posthume) In Les
sept minutes (Paris, Gallimard, N.R.F., 1938).
Réédition(s)
en français
Aucune.
Edition(s)
collective(s) en français Liste non exhaustive
In uvres
complètes (Lausanne, Editions Rencontre, 1967-1973)
- tome V.
In Tout
Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993)
- tome 18. In Tout
Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome
18.
Traduction(s)
Liste non exhaustive En allemand : [ ? ] : [ ? ].
Adaptation théâtrale
Sous le titre Le pavillon d'Asnières (France),
pièce en trois actes.
Adaptation : Charles Méré et Robert Ancelin.
Mise en scène : Robert Ancelin.
Avec : Robert Ancelin, Rognoni, Jacques Varennes, Jacques Mattler, Jean
Coste, Jeanne Reinhart et Claudie de Sivry.
Création : Paris, Théâtre de la Porte Saint-Martin,
le 12 avril 1943.
Remarque(s)
Le titre initialement prévu pour cette nouvelle était
L'affaire des 7 minutes. Destinée à la collection
« Phototexte », sa publication a été annoncée
sur le fascicule contenant La
folle d'Itteville. Mais elle n'a finalement pas
paru et fut publiée en 1938 par Gallimard dans un recueil de
nouvelles intitulé Les sept
minutes (collection « La
renaissance de la nouvelle »), sous le titre La nuit des
sept minutes.
Le livre publié par Gallimard porte la mention « Morsang,
juin 1930 » (et non avril 1931 comme le suppose la date de rédaction
du texte). Ce qui est intéressant parce que, si c'est le cas,
cela signifie que Simenon a écrit La nuit des sept minutes
parallèlement aux premiers « Maigret » commandés
par Fayard ; ce qui ne serait pas sans souligner la schizophrénie
littéraire de l'auteur à cette époque
L'intrigue de La nuit des sept minutes reprend, sous une forme
réduite et remaniée, celle d'une courte fiction intitulée
L.
53 et publiée sous le pseudonyme de Georges
Sim (Paris, A. Fayard, 1929 ; en feuilleton dans l'hebdomadaire
« L'Aventure » des 14 et 21 mars). Dans ce petit roman,
Jarry-G. 7 se présentait sous les traits de Boulines-L. 53,
Sonia s'appelait Olga et le narrateur était nommé (Sim),
ce qui n'est pas le cas dans la nouvelle. Contrairement à ces
trois personnages, Yvan Nikolaïevitch Morotzov conserve le même
nom dans les deux textes.
Intrigue Texte en cours de rédaction.
Merci de votre compréhension.