Les libertés qu'il nous reste
Récit à caractère autobiographique

[Dictées ; 18]

  • Enregistrement
    Lausanne (Vaud, Suisse), du 30 novembre au 17 décembre 1978.


  • Supports originaux
    Enregistrement sur cassettes.
    Dactylographie : 2 volumes avec reliure noire (pp. 1-113, pp. 114-215 ; corrections manuscrites de l'auteur ; signature.
    Conservation : un exemplaire de la dactylographie avant correction par l'auteur au Fonds Simenon (Liège, Belgique).


  • Publication d'une préoriginale
    Aucune.


  • Edition originale
    Tirage de tête

    Achevé d'imprimer : janvier 1981.
    Paris, Presses de la Cité ; 26,5 x 17,5 cm, 152 pages ; en feuilles, sous double emboîtage d'édition bleu marine.
    50 exemplaires de luxe, numérotés de 1 à 50.


      Les libertés qu'il nous reste, 1981.
    Edition originale, tirage de tête.


    Tirage courant

    Achevé d'imprimer : janvier 1981.
    Paris, Presses de la Cité ; 24 x 15,5 cm, 152 pages ; couverture en carton léger illustrée en couleurs.


      Les libertés qu'il nous reste, 1981.
    Edition originale, tirage courant.


  • Réédition(s) en français
    Aucune.


  • Edition(s) collective(s) en français
    Liste non exhaustive

    In Tout Simenon (Paris, Presses de la Cité, 1988-1993) - tome 27.
    In Tout Simenon (Paris, Omnibus, 2002-2004) - tome 27.


  • Traduction(s)
    Liste non exhaustive

    En allemand :
    [ ? ] : [ ? ].

    En anglais :
    [ ? ] : [ ? ] (première édition américaine).
    [ ? ] : [ ? ] (première édition anglaise).

    En italien :
    [ ? ] : [ ? ].


  • Sujet
    [Source : Mathieu Rutten in Simenon (Nandrin, Eugène Wahle, 1986).]

    Nous savons l'importance qu'attache Simenon à l'axiologie homme nu - homme habillé, en tant que vision — réalité, structure ou doctrine, peu importe — du monde contemporain, décrit dans ses romans et ses autobiographies. Pour autant, il tend à l'universalisme et à l'éternité de la dichotomie, si dichotomie il y a.

    Pour preuve, l'insistance qu'il met à revenir sur celle-ci dans Les libertés qu'il nous reste, dans La femme endormie et dans Jour et nuit, où il approfondit le problème en le rattachant à d'autres constantes de la psychologie et métaphysique simenoniennes : la monotonie, la simplicité et l'humilité également du style ; la vie diurne (habillée) et nocturne (nue), si importantes et décisives pour l'existence ou la non-existence de la mémoire, du rêve, du subconscient chez lui, le somnambule ; la pudeur Simenon, pouvant être aussi bien la timidité Simenon que la lâcheté Simenon.

    Tout cela, indissociable de sa formation littéraire sur laquelle il lui plaît de souligner l'impact qu'eurent la Bible et les Evangiles, les Essais de Montaigne, l'œuvre de Dostoïevski, de Gogol et de Tchekhov.




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